Gestion : un TCO en construction

Pour l’électrique comme pour les autres motorisations, le TCO reste le juge de paix des entreprises. Mais avec l’électrique, rien n’est simple : si le carburant et l’entretien reviennent moins cher, il faut prendre en compte les bornes de recharge ou la dépréciation des modèles en termes de valeurs résiduelles. Tour d’horizon auprès de nos entreprises témoins.
- Magazine N°240
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Electrique TCO - Avec sept ans d’expérience pour ses 14 000 véhicules électriques, La Poste tire un bilan satisfaisant en termes de TCO, notamment en ce qui concerne le programme d’entretien moins contraignant et les économies sur le carburant.
Avec sept ans d’expérience pour ses 14 000 véhicules électriques, La Poste tire un bilan satisfaisant en termes de TCO, notamment en ce qui concerne le programme d’entretien moins contraignant et les économies sur le carburant.

Pour Philippe Crassous de Sepur, spécialiste de la collecte des déchets et de la propreté urbaine, deux approches de calcul coexistent avec le TCO de l’électrique, « selon que l’on prend en compte l’investissement dans l’infrastructure de recharge ou non. Si nous l’excluons, c’est rentable. Les véhicules électriques sont certes plus chers mais il est possible de se faire accompagner par le constructeur et de négocier. Avec 150 Zoé en une fois, nous avons bénéficié de remises », expose ce directeur matériel et achats à la tête de 156 véhicules électriques.

Le carburant, premier atout

Pour Sepur, la partie carburant revient évidemment moins cher...

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