« Nos outils permettent d’éviter au maximum les saisies de données. 1 000 véhicules génèrent chacun cinq à six lignes de facturation, ce qui constitue un travail de saisie colossal. De plus, nos outils effectuent des contrôles de facturation des prestataires (loueurs et autres) et des taxes (TVS, etc.), en mettant en évidence des anomalies. On peut y passer deux semaines avec un parc de 2 000 véhicules ; avec un outil, ce contrôle est mené en une à deux heures », argumente Jean-Michel Julian, directeur commercial de l’éditeur Infoparc SIP2. Hotman Hozman, directeur général de l’éditeur Vega Systems, ne dit pas autre chose : « Sans informatique...
« Nos outils permettent d’éviter au maximum les saisies de données. 1 000 véhicules génèrent chacun cinq à six lignes de facturation, ce qui constitue un travail de saisie colossal. De plus, nos outils effectuent des contrôles de facturation des prestataires (loueurs et autres) et des taxes (TVS, etc.), en mettant en évidence des anomalies. On peut y passer deux semaines avec un parc de 2 000 véhicules ; avec un outil, ce contrôle est mené en une à deux heures », argumente Jean-Michel Julian, directeur commercial de l’éditeur Infoparc SIP2. Hotman Hozman, directeur général de l’éditeur Vega Systems, ne dit pas autre chose : « Sans informatique et selon la rigueur du travail, le calcul des avances en nature prend de deux à quatre jours pour une flotte de 300 véhicules. Avec un logiciel de gestion, c’est de l’ordre de la minute… ».
Autre prestataire, GAC Technology met en avant son outil de reporting Drag & Report, pour automatiser les envois de rapports à tous les conducteurs, tout en personnalisant automatiquement les courriers. « Avec 1 000 lettres de ce type à envoyer, le gain de temps est appréciable. D’autre part, nous avons aussi automatisé l’importation des données provenant des fournisseurs comme les loyers des loueurs, la maintenance des garagistes, les informations des autoroutiers ou celles liées à la sinistralité des assureurs. Nous avons comptabilisé que ces lignes d’informations sont de l’ordre de 23 millions par mois », expose Xavier Dunoyer de Segonzac, responsable marketing pour l’éditeur. Qui évoque aussi son outil de gestion des infractions routières, relié aux services de l’Antai : « On estime que le temps passé s’élevait auparavant à 20 minutes par infraction ; cela dure maintenant quelques secondes. »