« Recourir au logiciel WinFlotte offre un gain de temps, confirme Nathalie Soulhol chez Takeda. Nous pouvons entrer les factures, les lois de roulage, les contrats et extraire rapidement des données pour mieux suivre les coûts. »
De son côté, Lionel Gaultier, directeur projets et services généraux de Weiss Technik France, spécialiste des équipements climatiques industriels, met l’accent sur la croissance de son parc passé de 90 à 120 véhicules en moins de trois ans. Une progression qui montre les limites d’une organisation multi-tâches sans l’appui d’un outil : « Sans une assistante et le nouveau logiciel SIP2 opérationnel depuis 2016, cela...
« Recourir au logiciel WinFlotte offre un gain de temps, confirme Nathalie Soulhol chez Takeda. Nous pouvons entrer les factures, les lois de roulage, les contrats et extraire rapidement des données pour mieux suivre les coûts. »
De son côté, Lionel Gaultier, directeur projets et services généraux de Weiss Technik France, spécialiste des équipements climatiques industriels, met l’accent sur la croissance de son parc passé de 90 à 120 véhicules en moins de trois ans. Une progression qui montre les limites d’une organisation multi-tâches sans l’appui d’un outil : « Sans une assistante et le nouveau logiciel SIP2 opérationnel depuis 2016, cela ne serait pas gérable. La plupart des données sont entrées automatiquement. Cela permet de vérifier les contrats et les kilométrages rapidement, et de bénéficier d’alertes », constate Lionel Gaultier. Pour qui la difficulté ne tient pas seulement à la question du nombre des véhicules mais à leur localisation. « Nos techniciens sont répartis dans toute la France et chaque renouvellement répond à une configuration différente. Au-delà de 200 véhicules, un parc nécessite une personne dont c’est le rôle principal », estime-t-il (voir son témoignage).
Automatiser certaines tâches
Pour Olympus France, Arnaud Renard souligne la nécessité d’automatiser certaines tâches « comme la gestion des amendes et le traitement des factures ». Parmi les pistes d’amélioration, un outil de gestion de flotte est désormais envisagé : « Nous comptons employer le même logiciel que le groupe à l’échelle européenne pour bénéficier de leur expérience. »
Cependant, les petites flottes fonctionnent le plus souvent avec des tableaux Excel. « Les logiciels sont souvent trop complexes et trop chers pour une petite entreprise. Quant aux solutions offertes par les loueurs, elles restent compliquées et nous y faisons peu appel par manque de temps », conclut Larissa Balandras pour Clasquin.