Johann Sauvêtre est coordinateur logistique au sein du groupement hospitalier (GHT) Rance-Émeraude.
« L’autopartage est testé principalement sur le site de Saint-Malo de notre hôpital. Ce site regroupe 75 % du parc, le reste de la flotte se répartissant dans d’autres implantations comme celle de Dinan ou dans des Ehpad. Au sein de notre structure, le principe de l’autopartage était déjà présent puisque le personnel du GHT Rance-Émeraude fait appel à des véhicules en pool dans les différents services. Mais nous fonctionnions jusqu’ici en “cloisonnement“, c’est-à-dire avec des pools de véhicules affectés à un service. Avec la solution...
Johann Sauvêtre est coordinateur logistique au sein du groupement hospitalier (GHT) Rance-Émeraude.
« L’autopartage est testé principalement sur le site de Saint-Malo de notre hôpital. Ce site regroupe 75 % du parc, le reste de la flotte se répartissant dans d’autres implantations comme celle de Dinan ou dans des Ehpad. Au sein de notre structure, le principe de l’autopartage était déjà présent puisque le personnel du GHT Rance-Émeraude fait appel à des véhicules en pool dans les différents services. Mais nous fonctionnions jusqu’ici en “cloisonnement“, c’est-à-dire avec des pools de véhicules affectés à un service. Avec la solution d’autopartage du prestataire Mobility Tech Green, cette organisation est amenée à évoluer. Les véhicules ne seront plus affectés à des services mais partagés entre eux. Avec à la clé un bénéfice pour tous les services de l’hôpital : l’accès non seulement à plus de véhicules mais aussi à une plus grande variété de modèles.
Pendant cette phase de test, un minibus, jusque-là cantonné à un seul service, est par exemple devenu accessible à un nombre accru d’utilisateurs. Désormais, avec la mise en place de l’autopartage, ce service peut non seulement faire rouler ce minibus quand il en a besoin, mais aussi le mettre à disposition des autres services le reste du temps. Jusqu’ici, nous affections un véhicule à un service parce que nous n’avions pas d’autres solutions à proposer par manque de visibilité sur les véhicules disponibles. Avec les minibus, nous les affections ainsi à un service alors qu’ils n’étaient employés que deux heures par semaine. »