Le réseau breton d’agences immobilières Giboire a intégré des véhicules électriques dès 2014. Une intégration réussie et qui se poursuit avec une progression de la taille du parc à six véhicules électriques à l’heure actuelle, proposés en autopartage aux salariés. Des voitures électriques qui ont aussi remplacé le système des indemnités kilométriques.
La flotte de Giboire compte 60 véhicules dont six Zoé. Ces six véhicules électriques sont réservables par le biais de l’application Renault Mobility. Le réseau d’agences immobilières a réceptionné ces modèles en 2014 et renouvelé les contrats de location en 2017, en y ajoutant encore un véhicule.
« Les véhicules sont employés en autopartage : quatre à Rennes, un à Saint-Malo et nous venons d’en ajouter un à Nantes. Dans cette ville, nous avons changé de site et l’utilisation d’une voiture électrique est désormais possible, notamment parce que nous avons pu implanter une borne de recharge. Les Zoé sont empruntées par des salariés pour des...
La flotte de Giboire compte 60 véhicules dont six Zoé. Ces six véhicules électriques sont réservables par le biais de l’application Renault Mobility. Le réseau d’agences immobilières a réceptionné ces modèles en 2014 et renouvelé les contrats de location en 2017, en y ajoutant encore un véhicule.
« Les véhicules sont employés en autopartage : quatre à Rennes, un à Saint-Malo et nous venons d’en ajouter un à Nantes. Dans cette ville, nous avons changé de site et l’utilisation d’une voiture électrique est désormais possible, notamment parce que nous avons pu implanter une borne de recharge. Les Zoé sont empruntées par des salariés pour des visites de logement ou de bureaux avec des clients », expose Nicolas Remaud, directeur organisation, digital et satisfaction client.
L’électrique, un vecteur de communication
En 2014, ce passage à l’électrique au sein de Giboire a été motivé par plusieurs raisons. « Par la volonté de proposer à nos collaborateurs des véhicules de service là où il n’y en avait pas, ce qui nous amenait à réduire la facture des frais kilométriques. Nous voulions aussi ces voitures dans le cadre d’une démarche écoresponsable. Et enfin, nous en avons profité pour en faire un vecteur de communication avec un flocage à nos couleurs », relate le responsable.
Le coût des véhicules électriques s’est donc substitué aux indemnités kilométriques pour les salariés qui avaient plus de 500 euros de remboursement mensuel. Ils ont ainsi arrêté de se servir de leur voiture pour passer au véhicule de pool pour les usages professionnels. « Renault nous a aussi proposé un accompagnement pour prendre en charge la moitié du coût de l’installation des bornes ou la moitié du flocage des véhicules », complète Nicolas Remaud.
Giboire loue ses véhicules chez Renault qui a mis en place le service Renault Mobility pour réserver le véhicule depuis un téléphone ou un ordinateur. Le collaborateur n’accède au véhicule que lorsque celui-ci est disponible. Selon Nicolas Remaud, cette application a apporté une grande simplification à l’usage des véhicules puisque la réservation se faisait auparavant sur des agendas partagés dont l’utilisation était conditionnée au bon vouloir des collaborateurs. Maintenant, sans réservation, aucun accès n’est autorisé : les véhicules ne s’ouvrent qu’avec les téléphones ou les badges.
Avec l’autonomie des Zoé aujourd’hui, les salariés de Giboire peuvent les conduire deux à trois jours sans les recharger. Et quand cela est nécessaire, une voiture revenue le matin avec une faible charge peut se recharger pour l’après-midi. Pour le collaborateur qui souhaite connaître le taux de charge, il peut toujours consulter l’application afin de réserver la voiture avec la charge la plus élevée.
Des usages qui vont s’étendre
« Nous prévoyons d’étendre l’usage de l’électrique compte tenu de l’accroissement de l’autonomie des véhicules. Les réticences de la part des collaborateurs, entre autres à propos de la boîte automatique, ont disparu. Nous avons sensibilisé au début les conducteurs à l’absence de bruit des véhicules, surtout en environnement urbain, et à la vigilance nécessaire vis-à-vis des piétons. Après quatre ans d’utilisation, notre bilan est de zéro accident impliquant un piéton », rappelle Nicolas Remaud. Qui travaille aussi à un parc de vélos électriques : « De fait, la voiture, même électrique, n’empêche pas les bouchons en ville… », conclut-il.
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