« Le véhicule au GNV, c’est un véhicule propre, très peu polluant avec les avantages du thermique, c’est-à-dire sans les contraintes d’autonomie de l’électrique. Le gaz émet 20 % de CO2 en moins et encore moins avec du gaz bio, et très peu de particules », précise Olivier Valenchon pour l’État.
Mais du fait du surcoût de 20 à 25 % pour un modèle GNV, cette solution est plus adaptée à l’achat, d’autant qu’en LLD, la valeur résiduelle reste quasiment nulle, notent les gestionnaires de parc. Une contrainte qui s’ajoute à celle de l’approvisionnement en gaz. Gaz oblige, 25 % du parc de GrDF carburent au GNV. Mais ailleurs, la situation est bien...
« Le véhicule au GNV, c’est un véhicule propre, très peu polluant avec les avantages du thermique, c’est-à-dire sans les contraintes d’autonomie de l’électrique. Le gaz émet 20 % de CO2 en moins et encore moins avec du gaz bio, et très peu de particules », précise Olivier Valenchon pour l’État.
Mais du fait du surcoût de 20 à 25 % pour un modèle GNV, cette solution est plus adaptée à l’achat, d’autant qu’en LLD, la valeur résiduelle reste quasiment nulle, notent les gestionnaires de parc. Une contrainte qui s’ajoute à celle de l’approvisionnement en gaz. Gaz oblige, 25 % du parc de GrDF carburent au GNV. Mais ailleurs, la situation est bien différente. « En tant que collectivité, nous sommes en pleine recherche de réduction sur les coûts du carburant et le GNV nous intéresse, d’autant que des stations vont s’ouvrir. Nous y réfléchissons pour quelques utilitaires », avance Nadine de Barros pour la mairie de Puteaux (92).
Actuellement, il existe une station GNV dans les Hauts-de-Seine mais l’infrastructure va se développer et de nouvelles stations sont prévues. « Nos véhicules roulent au diesel, ils sont vieillissants et nous ne pourrons bientôt plus rouler dans Paris suite au décret qui entrera en vigueur », renchérit Nadine de Barros.