
Les prix s’entendent TTC, « à partir de » et hors bonus ou aides de l’État. Les CO2 sont indiqués en WLTP et, quand elle est communiquée, avec la fourchette du moins émetteur au plus émetteur selon la finition. Attention donc à la finition Business, souvent mieux équipée que l’accès à la gamme et parfois dans une tranche de CO2 moins favorable.
Audi a restylé et remotorisé son Q5 (4,66 m de long) né en 2017 et son lancement a eu lieu cet été dans une gamme réduite en raison d’une production affectée par la crise sanitaire. Le diesel ne comporte donc qu’un modèle 40 TDI : il est emmené par le 2.0 TDI de 204 ch à hybridation de 48 V avec boîte...
Les prix s’entendent TTC, « à partir de » et hors bonus ou aides de l’État. Les CO2 sont indiqués en WLTP et, quand elle est communiquée, avec la fourchette du moins émetteur au plus émetteur selon la finition. Attention donc à la finition Business, souvent mieux équipée que l’accès à la gamme et parfois dans une tranche de CO2 moins favorable.
Audi a restylé et remotorisé son Q5 (4,66 m de long) né en 2017 et son lancement a eu lieu cet été dans une gamme réduite en raison d’une production affectée par la crise sanitaire. Le diesel ne comporte donc qu’un modèle 40 TDI : il est emmené par le 2.0 TDI de 204 ch à hybridation de 48 V avec boîte auto S-Tronic7 et transmission intégrale Quattro. Le CO2 reste malgré tout contenu à 167-181 g pour 55 950 euros en Business Executive. Ce moteur sera bien entendu décliné en traction avant et boîte manuelle, et en 150 ch d’ici fin 2020.
Le Q5 face au X3…
Sont aussi prévues les motorisations essence à hybridation légère et le Q5 à hybridation rechargeable. Ce dernier est d’ailleurs toujours commercialisé dans sa précédente génération sur stock : 50 TFSIe de 299 ch/51-60 g (60 200 euros en Business Executive) et 55 TFSIe de 367 ch/53-61 g (67 080 euros en S-Line uniquement). En essence à hybridation de 48 V, on retrouve le 45 TFSI Quattro de 245 ch/192-212 g (56 570 euros en Business Executive) ; en diesel (Business Executive), le 35 TDI traction de 163 ch/149-162 g (50 420 euros) ou le 40 TDI Quattro de 204 ch à 169-186 g (54 480 euros).

De son côté, BMW peut s’enorgueillir de proposer son X3 (4,71 m de long) dans toutes les motorisations possibles, thermiques essence et diesel, hybride rechargeable et électrique. L’iX3 100 % électrique développe ainsi 286 ch et emporte une batterie de 74 kWh assurant une autonomie de 460 km en WLTP. Son prix : 72 950 euros. Le X3 xDrive30e hybride rechargeable aligne pour sa part 292 ch avec un CO2 limité à 44-59 g à 59 600 euros et 61 350 euros en Business Design.
Plus classiquement pour ce X3, le sDrive18d de 150 ch turbo-diesel/142-166 g débute à 45 300 euros et 49 800 euros en Business Design. Il est épaulé par le xDrive20d de 190 ch/154-175 g à 54 750 euros en Business Design et par le réputé xDrive30d et son 6-cyl. en ligne 3.0 turbo-diesel de 286 ch/161-183 g (61 550 euros en Business Design). En essence, le xDrive20i de 184 ch/176-197 g constitue l’accès à la gamme à 48 400 euros en Lounge et 50 150 euros en Business Design.

La déclinaison coupé X4 (4,75 m de long) reprend les plus puissantes de ces motorisations, hors électrique et hybride rechargeable. Soit le xDrive30i de 252 ch essence à 176-198 g (61 400 euros en Business Design) et, en diesel, le xDrive20d de 190 ch/153-175 g (60 300 euros) et le xDrive30d de 286 ch/159-181 g à 66 800 euros.
… et au GLC de Mercedes
Mercedes ne s’en laisse pas compter et le GLC (4,67 m de long) et son dérivé GLC Coupé (4,74 m de long) sont aussi disponibles en hybridation légère de 48 V, en hybride rechargeable et, si l’on y ajoute l’EQC (4,76 m de long), en électrique pur.
Le GLC 300e hybride rechargeable de 320 ch/51-70 g est facturé 63 650 euros en Business Line et 68 950 euros en Coupé (CO2 identiques). Toujours en essence, l’hybridation légère de 48 V EQ Boost limite à 185-217 g le CO2 du 2.0 turbo-essence de 258 ch sous le capot du GLC 300 (56 650 euros) ; comptez 61 950 euros en GLC Coupé. En diesel, on retrouve le 2.0 de 163 ch/152-180 g en deux roues motrices à 53 100 euros en Business Line pour le GLC uniquement. En 194 ch/154-191 g et transmission intégrale 4Matic, ce turbo-diesel équipe les deux carrosseries (Business Line) : GLC (55 850 euros) et GLC Coupé (62 250 euros).

Pour sa part, l’EQC 400 4Matic débute à 79 250 euros en AMG Line avec deux moteurs électriques cumulant 408 ch et alimentés par une batterie de 80 kWh pour 374-414 km d’autonomie en WLTP mixte.

Dernier allemand de ce segment, Porsche mise toujours sur son Macan (4,67 m de long) qui a soufflé ses sept bougies en 2020 après son restylage fin 2017. Basé sur l’ancienne plate-forme du Q5, il ne peut pas faire valoir de motorisation hybride, tout en ayant renoncé au diesel. Et il sera remplacé par une unique version 100 % électrique fin 2021. Le 4-cyl. 2.0 turbo-essence de 245 ch/227 g demeure la seule motorisation encore raisonnable tant en consommation qu’en taxation, à 61 460 euros.

Né en 2017, le Volvo XC60 (4,69 m de long) devrait être restylé en 2021 mais ses motorisations n’ont pas attendu cet anniversaire pour se « micro hybrider », tant en essence qu’en diesel, en plus des versions hybrides rechargeables. Le 2.0 turbo-diesel B4 de 197 ch/148-176 g deux roues motrices est à 52 730 euros en Business Executive, et à 54 980 euros en transmission intégrale AWD pour 160-187 g. En B5 de 235 ch/160-187 g, le tarif monte à 62 630 euros (R-Design).
Le XC60 en hybride
Sur ce XC60, le 2.0 turbo-essence B4 de 197 ch/169-187 g est à 50 680 euros en Business Executive et passe à 250 ch/180-205 g pour la version AWD (59 080 euros en R-Design). Ce 2.0 turbo-essence en 253 ch sert aussi à la version hybride rechargeable T6 AWD qui y ajoute un moteur électrique de 87 ch, le tout pour 54-66 g et 65 980 euros en Business Executive. En T8 AWD, ce 2.0 développe 303 ch plus les 87 ch du moteur électrique, toujours à 54-66 g, pour 3 000 euros supplémentaires.

Toujours dans le premium, allons au Japon avec le Lexus NX 300h (4,63 m de long) qui mise toujours sur sa motorisation « full hybrid ». Celle-ci se compose du 2.5 essence de 155 ch, complété par deux moteurs électriques avant et arrière, soit au total 218 ch. Avec à la clé 160-171 g pour les versions deux roues motrices à 45 990 euros et 46 670 euros en Pack Business. Ce chiffre atteint 163-174 g en 4×4 pour 47 490 euros et 48 170 euros en Pack Business.

Avec des visées premium, les coréens Kia et Hyundai partagent la même plate-forme pour, respectivement, le Sorento (4,81 m de long) et le Santa Fe de dernière génération (4,77 m de long). Ce dernier adopte l’hybridation légère de 48 V sur son 1.6 CRDi de 115 ch/138-149 g (31 600 euros en Business) et de 136 ch/141-155 g (34 400 euros en Business). Celui-ci sert aussi à la version 4×4 à 154-162 g pour 42 200 euros, uniquement en N-Line Executive. Pour sa part, le Sorento de quatrième génération sera commercialisé début 2021, uniquement avec le 1.6 T-GDi essence de 180 ch aidé par un moteur électrique de 91 ch et une batterie rechargeable de 13,8 kWh. Le tout développe 265 ch pour 124 g en deux roues motrices et 141 g en 4×4.
Avec cette volonté de se faire un nom sur le segment haut de gamme, il faut aussi citer Seat et son Tarraco (4,73 m de long) et Skoda avec son Kodiaq (4,70 m), tous deux développés sur la plate-forme du Volkswagen Tiguan Allspace (voir ci-dessus).
Le Seat Tarraco s’affiche à 34 300 euros en Style Business avec le 1.5 TSI essence de 150 ch/165-182 g. Il est complété par le 2.0 TDI de 150 ch/148-167 g facturé 37 150 euros, toujours en Style Business. Ce 150 ch est aussi proposé en 4×4 et boîte DSG7 à 178-194 g et 40 550 euros en Style Business.

Le Kodiaq de Skoda se décline aussi avec le 1.5 TSI de 150 ch/153-183 g à 33 500 euros en Business et 36 130 euros en boîte DSG7 à 154-184 g. En diesel, le 2.0 TDI de 150 ch/140-175 g est à 40 470 euros en Business et monte à 42 720 euros en 4×4, toujours avec la boîte DSG7 (144-178 g).
Chez Jaguar, le F-Pace (4,73 m de long) a été restylé et remotorisé avec l’hybridation de 48 V pour le 4-cyl. 2.0 turbo-diesel (163 ch/164 g à 54 940 euros ; 204 ch/163 g à 57 850 euros). Mais aussi pour le 6-cyl. en ligne 3.0 turbo-diesel de 300 ch/194 g à 66 690 euros et sa version turbo-essence de 400 ch/221 g à 71 560 euros. Seule la version d’accès en 2.0 turbo-essence de 250 ch/209 g n’est pas hybridée (58 890 euros). L’hybride rechargeable venu de Land Rover est à 72 290 euros. Il s’agit du 4-cyl. 2.0 turbo-essence de 300 ch, aidé par 143 ch électriques, le tout développant 404 ch pour 49 g.
Son concurrent direct n’est autre que l’I-Pace (4,68 m de long) qui aligne 400 ch grâce à ses deux moteurs électriques et sa batterie de 90 kWh. Celle-ci assure une autonomie poussée à 500 km en WLTP grâce à une mise à jour de son logiciel de pilotage. Notez que cet I-Pace reçoit aussi depuis cet été un nouveau chargeur de 11 kW contre 7 kW jusqu’ici. Son prix débute toujours à 79 990 euros.
Land Rover bénéficie des mêmes plates-formes et groupes motopropulseurs du félin pour son Range Rover Velar (4,80 m de long). L’accès à la gamme est à 58 700 euros en 2.0 turbo-diesel de 180 ch/177 g, et à 62 900 euros en 240 ch/180 g. Le 3.0 V6 turbo-diesel est ensuite à la manœuvre en 275 ch/195 g à 65 430 euros et en 300 ch/195 g à 67 200 euros.

Stelvio chez Alfa Romeo
Enfin, Alfa Romeo a légèrement enrichi les équipements du Stelvio (4,69 m) pour le millésime 2021, tout en simplifiant la gamme (voir l’essai flash ci-dessus). Ce SUV s’équipe du 2.2 turbo-diesel de 160 ch/159-161 g à 42 000 euros. Sa puissance poussée à 190 ch/160-161 g fait grimper la note à 49 100 euros. En transmission intégrale Q4, ce 190 ch pointe à 168-169 g pour 52 100 euros. En essence, le 2.0 turbo de 200 ch/170-171 g, obligatoirement en Q4, est facturé 51 100 euros.

Dossier - SUV et crossovers : le SUV résiste à la crise
- Segments A-B – SUV citadins polyvalents (jusqu’à 4,30 m) : un choix pléthorique
- Essai flash – Nissan Juke DIG-T 117 DCT7 : les joies de la boîte auto
- Segment C – SUV compacts (4,30 m à 4,50 m) : en mode hybride
- Essai flash – Toyota C-HR Hybride 184 ch : une hybridation à la hauteur
- Segment C – SUV routiers (4,50 m à 4,65 m) : un peu plus de coffre
- Segment E – Grands SUV (4,65 m à 4,80 m) : le premium avant tout
- Essai flash – Alfa Romeo Stelvio : la distinction latine
- Segment H : SUV de luxe (4,80 m et plus), très « exclusif »