Le projet porté par GreenTropism explore des solutions dans le but de garantir le confort et la sécurité des occupants dans les voitures partagées, alors que le volume des flottes partagées « devrait être multiplié par 4 d’ici 2035 » selon Anastasia Yarygina, chef de projet incubation start-ups de Hyundai, partenaire du projet aux côtés de Total, d’Ubeeqo et de l’incubateur d’entreprises NUMA.
La propreté : défi majeur de la mobilité partagée
Dans le cadre de ce projet, GreenTropism a analysé les sources les plus courantes de saleté à bord des voitures et essayé d’identifier celles qui représentaient le plus gros risque d’inconfort pour les occupants. La start-up a utilisé des capteurs physiques pour collecter des informations sur la propreté de l’habitacle. Parmi celles-ci, figurent des images et des données sur l’air ambiant ou des tâches diverses comme le café ou le cacao. Et cela est possible grâce à la technique de la spectrométrie couplée à des algorithmes d’apprentissage automatique qui permettent l’analyse en temps réel des spectres d’émissions des matières et ainsi de les identifier.