Sophie Rambaud est responsable des achats chez Gustave Rideau
« Gustave Rideau gère en direct l’entretien de sa flotte dans la partie ouest du territoire, autour d’une ligne qui va de Lille à Bordeaux. Pour sa part, la partie est du pays reste gérée par nos concessionnaires. Nous responsabilisons beaucoup nos conducteurs qui doivent s’engager par écrit à rendre leur véhicule en bon état.
Dans ce contexte, nous avons choisi d’établir un accord-cadre avec Autodistribution pour deux raisons : d’abord pour leur maillage et ensuite pour leurs tarifs, notamment parce que ces tarifs sont équivalents quel que soit le lieu d’intervention. Nous...
Sophie Rambaud est responsable des achats chez Gustave Rideau
« Gustave Rideau gère en direct l’entretien de sa flotte dans la partie ouest du territoire, autour d’une ligne qui va de Lille à Bordeaux. Pour sa part, la partie est du pays reste gérée par nos concessionnaires. Nous responsabilisons beaucoup nos conducteurs qui doivent s’engager par écrit à rendre leur véhicule en bon état.
Dans ce contexte, nous avons choisi d’établir un accord-cadre avec Autodistribution pour deux raisons : d’abord pour leur maillage et ensuite pour leurs tarifs, notamment parce que ces tarifs sont équivalents quel que soit le lieu d’intervention. Nous avons établi un fonctionnement sur devis avec une validation par notre service ; l’objectif reste entre autres d’optimiser et de maîtriser nos coûts. Leur hausse demeure un sujet assez préoccupant, surtout du côté des carburants.
Il y a de ce fait urgence à verdir la flotte de Gustave Rideau. Pour l’instant, nous n’avons que trois véhicules électriques, mais il va falloir penser à augmenter leur nombre. Cependant, leur autonomie ne correspond pas aux besoins des commerciaux et des poseurs de l’entreprise.
Notre parc fonctionne en propriété et nous gérons nos véhicules sur la durée avec une rotation importante. Des modèles au kilométrage élevé sont ainsi réattribués à de nouveaux commerciaux par exemple. Mais au-delà de 200 000 km ou 250 000 km tout au plus, nous considérons que les frais d’entretien sont trop importants. Cela étant, nous avons cédé certains véhicules qui avaient neuf ans. Pour les VUL, nous nous situons plus sur une durée d’usage de cinq ans. »