« Avant 2010, nous financions notre parc par crédit-bail avec une valeur résiduelle faible des modèles. Après être passés sous le contrôle du groupe Scopelec, nous migrons progressivement vers la LLD : nous renouvelons le parc par tiers, à raison d’environ 150 véhicules par an. Il s’agit essentiellement d’utilitaires de type Partner et Kangoo, pour des techniciens. Soit, au total, plus de 500 véhicules disséminés sur une quinzaine de sites avec des agences locales et une cinquantaine de personnes par site. Il nous fallait aussi harmoniser les méthodes de financement et la LLD est la plus adaptée en termes de présentation des bilans...
« Avant 2010, nous financions notre parc par crédit-bail avec une valeur résiduelle faible des modèles. Après être passés sous le contrôle du groupe Scopelec, nous migrons progressivement vers la LLD : nous renouvelons le parc par tiers, à raison d’environ 150 véhicules par an. Il s’agit essentiellement d’utilitaires de type Partner et Kangoo, pour des techniciens. Soit, au total, plus de 500 véhicules disséminés sur une quinzaine de sites avec des agences locales et une cinquantaine de personnes par site. Il nous fallait aussi harmoniser les méthodes de financement et la LLD est la plus adaptée en termes de présentation des bilans.
Nous n’avons pas encore de recul suffisant sur les avantages et inconvénients d’un tel système. Nous sommes confrontés à certains problèmes comme le pilotage des plafonds kilométriques sur la durée. Aujourd’hui, nous n’avons de remontée d’information kilométrique que par la carte Total et cette information est compliquée à rentrer pour les techniciens. Nous réfléchissons à un système de remontée automatique des kilomètres. La mise en pool pourrait nous aider à répartir les kilométrages mais reste difficile à mettre en place : à un technicien qui fait attention à son véhicule, il n’est pas évident d’en donner un autre sous prétexte que celui-ci a un kilométrage moins élevé. Il y a un aspect valorisation sociale à ne pas négliger.
Nous rencontrons aussi des problèmes lors des restitutions qui occasionnent des frais importants. Plus d’attention de la part des techniciens demanderait d’intégrer une véritable culture d’entreprise afin de les responsabiliser.
Pour la location, nous avons choisi des solutions constructeurs : Diac, Crédipar et Citroën. Nous n’avons fait que la moitié du chemin ; au-delà de la solution de financement, il nous faudra une offre locative complète avec le suivi du parc. De plus, pour nos cadres, nous n’avions pas de politique de voitures de fonction mais plutôt de voitures de service. Nous réfléchissons à la possibilité de leur proposer un panel de véhicules de fonction pour les attirer. »
La flotte de Setelen en chiffres
• 500 véhicules en LLD