Haut de gamme 2021 – Segment E – grandes routières (jusqu’à 5 m de longueur) : la triplette allemande
Le premium allemand reste dominant sur ce segment des grandes routières. Et année après année, les renouvellements de génération se succèdent tranquillement. Mais sans jamais vraiment trop toucher au design toujours convenu des berlines trois volumes à malle arrière.
Les prix sont exprimés en euros TTC « à partir de », et les émissions de CO2 en g/km, « à partir de ».
Dans cette catégorie, on retrouve donc Audi avec son A6 en berline 4 portes, break et A6 Allroad surélevée, et sa déclinaison A7 Sportback coupé 4 portes, tous nés en 2018. Pour 2021, outre un restylage aux lignes plus tendues, on notera surtout l’amélioration de la puissance des batteries des versions hybrides rechargeables essence PHEV (17,9 kWh contre 14,1 kWh). Et ce, en 299 ch/33 g (50 TFSIe) et 367 ch/37 g (55 TFSIe) dont l’autonomie en électrique offre au minimum 60 km de rayon d’action. Cette A6 50 TFSIe débute à 63 150 euros et...
Les prix sont exprimés en euros TTC « à partir de », et les émissions de CO2 en g/km, « à partir de ».
Dans cette catégorie, on retrouve donc Audi avec son A6 en berline 4 portes, break et A6 Allroad surélevée, et sa déclinaison A7 Sportback coupé 4 portes, tous nés en 2018. Pour 2021, outre un restylage aux lignes plus tendues, on notera surtout l’amélioration de la puissance des batteries des versions hybrides rechargeables essence PHEV (17,9 kWh contre 14,1 kWh). Et ce, en 299 ch/33 g (50 TFSIe) et 367 ch/37 g (55 TFSIe) dont l’autonomie en électrique offre au minimum 60 km de rayon d’action. Cette A6 50 TFSIe débute à 63 150 euros et à 74 300 euros en 55 TFSIe pour la berline, et à 76 900 euros en break Avant (uniquement en 55 TFSIe).
L’hybridation MHEV de 48 V est dorénavant la règle pour les motorisations thermiques essence et diesel. Le 2.0 TDI de 163 ch/139 g débute ainsi à 49 300 euros en berline, suivi par sa version de 204 ch/139 g à 52 850 euros. En essence, seul le 2.0 TFSI de 265 ch/162 g est au programme en France à 55 150 euros. Le break Avant est facturé 2 600 euros de plus alors que le break surélevé Allroad n’offre qu’une seule motorisation, le 3.0 V6 TDI de 344 ch/198 g à 74 600 euros.
Le coupé A7 Sportback reprend en partie ces motorisations en 2.0 TDI de 204 ch/139 g (64 650 euros) et en 2.0 TFSI de 265 ch/161 g (66 710 euros) mais fait l’impasse sur le PHEV.
Audi A6Audi A7 Sportback
Audi A6 ou Série 5
Chez BMW, la Série 5 née en 2017 a eu aussi droit à son (léger) restylage début 2021. Mais aussi, comme par hasard, à la déclinaison « vers le bas » de son hybridation rechargeable PHEV en 520e de 204 ch/30 g (163 ch essence + 109 ch électriques, 52 650 euros). Celle-ci reste toujours basée sur le 4-cyl. 2.0 de la 530e qui pour sa part gagne en puissance de 252 ch à 292 ch/30 g (58 250 euros). La 545e est en revanche développée sur le 6-cyl. en ligne 3.0 de 286 ch plus 109 ch électriques, soit au maximum 394 ch pour 37 g à 70 550 euros.
Toutes les motorisations essence et diesel de cette Série 5 sont à hybridation MHEV de 48 V avec un alterno-démarreur de 11 ch qui favorise des CO2 très bas : la 518d de 150 ch est à 124 g seulement (47 700 euros), tout comme la 520d de 190 ch, également à 124 g (51 150 euros). En 530d avec le 6-cyl. de 286 ch, le CO2 passe à 133 g, toujours très raisonnable (60 000 euros). En essence, un choix au deux extrêmes uniquement : en 2.0 de 184 ch/140 g à 50 150 euros, et en 4.4 V8 de 530 ch/235 g à 96 400 euros. Le break se décline avec toutes les motorisations, y compris les trois PHEV, et nécessite 2 600 euros de plus avec un CO2 qui augmente uniformément de 8 g.
Toujours au catalogue, la Série 6 Gran Turismo restylée en 2020 tente, sur la base de la Série 5, une proposition « haut de forme », avec une très belle habitabilité obtenue par le rehaussement de son pavillon de toit. Plus que deux motorisations : 520d de 190 ch/147 g (65 250 euros) et 530d de 286 ch/156 g (73 500 euros), toutes deux en transmission intégrale xDrive.
La Classe E s’hybride
Bien naturellement, Mercedes a aussi restylé sa Classe E née en 2016. Et de la triplette du premium allemand, c’est celle qui se démarque le plus de la précédente génération avec un style très agressif. Mais la calandre classique devenait vraiment trop classique…
Sous le capot avant, l’hybridation MHEV de 48 V est de mise en essence et en diesel. L’E 220d débute en 194 ch/136 g à 56 600 euros en berline (+ 2 200 euros en break, CO2 inchangé). L’E 400d, avec son 6-cyl. en ligne de 330 ch/172 g, commence à 74 800 euros. La carrosserie All-Terrain E 220d, un break surélevé, est emmenée uniquement par le 2.0 turbo-diesel de 194 ch/163 g à 64 900 euros. En essence, Mercedes France limite son offre au E63 AMG e de 435 ch/207 g à 91 650 euros.
La marque à l’étoile fait plutôt la différence sur l’hybride rechargeable avec une offre en essence mais aussi en diesel. Ainsi, l’E 300de, avec son 2.0 turbo-diesel de 194 ch plus 122 ch électriques, développe 306 ch au total pour 31 g à 65 250 euros (67 450 euros en break). En E 300e de 320 ch/34 g (211 ch essence + 122 ch électriques), le prix atteint 63 450 euros en berline et 65 650 euros en break.
La version coupé 4 portes de cette Classe E, joliment baptisée CLS Coupé mais qui n’a rien à voir avec la Classe S, reprend le 300d de 245 ch/152 g à 72 600 euros ou le 400d et son 6-cyl. de 340 ch/172 g à 83 600 euros. En essence, le 6-cyl. en ligne de 367 ch est aidé par un alterno-démarreur de 22 ch pour un CO2 de 187 g. Le prix : 76 800 euros.
S60 et V60 chez Volvo
De son côté, Volvo joue toujours dans cette cour des grands du premium avec une offre bien garnie sur ce segment. La berline S60 n’existe qu’en hybride rechargeable, en S60 T6 de 340 ch/37 g à 59 900 euros ou en S60 T8 de 405 ch/46 g au prix unique de 69 100 euros. En break V60, on retrouve ce T6 de 340 ch/39 g à 59 600 euros et le T8 de 405 ch/61 g à 71 190 euros. S’y ajoutent les plus abordables 2.0 turbo-essence MHEV de 48 V en 163 ch/153 g à 40 400 euros, et en diesel le 2.0 B4 de 197 ch/144 g à 46 050 euros. Sans oublier le break surélevé V60 Cross Country Pro en B4 et 4×4 de 197 ch/156 g à 55 900 euros.
Jaguar tente de se maintenir avec sa berline classique XE restylée il y a deux ans et remotorisée en 2020. Avec un 2.0 turbo-diesel MHEV de 204 ch/127 g à 45 810 euros, complété par le 2.0 turbo-essence de 250 ch/179 g à 46 940 euros, ou en 300 ch/196 g à 52 730 euros.
Jaguar XE
Lexus, marque premium de Toyota, ne s’embarrasse pas d’une palette de motorisations trop large. Sa berline ES, totalement revue en 2019 sur la base de la Camry de Toyota, n’offre qu’une seule motorisation FHEV hybride de 300 ch ; celle-ci pointe à 119 g seulement pour 49 990 euros.
Lexus ne s’embarrasse pas d’une palette de motorisations trop large. Sa berline ES, totalement revue en 2019 sur la base de la Camry de Toyota, n’offre qu’une seule motorisation FHEV hybride de 300 ch ; celle-ci pointe à 119 g pour 49 990 euros.
Citons la prétendante au haut de gamme, la Kia Stinger, avec des arguments : un 3.3 V6 turbo-essence de 366 ch/247 g en boîte auto et transmission intégrale au prix compétitif de 63 190 euros.
Parmi les berlines prétendantes à la catégorie du haut de gamme, la Kia Stinger sait aligner les arguments : un 3.3 V6 turbo-essence de 366 ch/247 g en boîte auto et transmission intégrale, pour un prix compétitif de 63 190 euros.
Une Model 3 revue
Pour sa part, Tesla a revu sa Model 3, tant en technologie avec une autonomie améliorée de 30 km ou plus, qu’en prix avec plusieurs milliers d’euros en moins. Cette berline électrique débute à 43 800 euros pour la version Standard Plus Propulsion de 275 ch et 440 km d’autonomie. Avec un moteur supplémentaire sur le train avant, les deux totalisant 462 ch et une plus grosse batterie ; l’autonomie passe à 580 km et à 51 990 euros pour le modèle Grande Autonomie. Enfin, la Model 3 Performance développe 482 ch pour une autonomie de 567 km et un prix à 59 990 euros.
Enfin, l’Alfa Romeo Giulia s’équipe du 2.9 V6 essence de 510 ch/238 g à 88 900 euros. Ou, plus raisonnable, du 2.0 turbo-essence de 200 ch/184 g à 40 900 euros ou de 280 ch/195 g à 57 500 euros. Enfin, le 2.2 turbo-diesel de 136 ch/136 g est à 37 200 euros ou à 43 500 euros en 160 ch/136 g. Mais aussi à 45 900 euros en 190 ch/136 ch ou à 57 000 euros en 210 ch/161 g.
En essence, l’Alfa Romeo Giulia s’équipe notamment du 2.9 V6 de 510 ch/238 g à 88 900 euros. Ou, nettement plus raisonnable, du 2.0 turbo essence de 200 ch/184 g à 40 900 euros ou de 280 ch/195 g à 57 500 euros.
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