
Annoncée en décembre 2015, la Ioniq a été entièrement révélée par Hyundai le 19 janvier. Alors que sa commercialisation devrait intervenir dans les prochaines semaines en Corée, le constructeur a présenté les premières éléments techniques de sa compacte dotée uniquement de motorisations alternatives. Développée sur une plateforme technique unique, cette compacte 5 portes sera dans un premier temps disponible dans sa déclinaison hybride.
D’un point de vue technique, cette Ioniq reçoit sous son capot un nouveau moteur Kappa 1,6 litre GDi 4 cylindres, « spécialement développé pour ce modèle », et un moteur électrique de 32 kW (43,5 ch) alimenté par une batterie lithium-ion polymère. L’ensemble affiche une puissance combinée de 141 ch pour un couple de 265 Nm. Équipée, de série, d’une nouvelle transmission à double embrayage à 6 rapports (DCT-6), la compacte peut « fonctionner en mode 100 % électrique jusqu’à 120 km/h, maximisant le rendement énergétique et minimisant les émissions de CO2 », annonce le constructeur.
Un équipement pléthorique !
Si le design extérieur n’attire pas forcément, la dotation de la Ioniq a de quoi ravir. Hyundai a annoncé qu’elle serait dotée : « d’un système de freinage d’urgence automatique (AEB), d’une assistance active au maintien de voie (LKAS), d’un système d’alerte de franchissement de ligne (LDWS) et d’un système de surveillance des angles morts (BSD) avec détection de trafic arrière (RCT) ».
Côté infodivertissement, la future hybride recevra une nouvelle génération de combiné d’instrument TFT 7 » haute résolution, intégrant tous les indicateurs utiles (vitesse, ECO, état de charge, carburant, etc), y compris des affichages propres à l’hybride (statut ou fonctionnement du système électrique).
À noter enfin la possibilité pour les futurs acquéreurs de disposer, à leur convenance, des systèmes embarqués Apple CarPlay et Android Auto.