
Les coûts de détention des modèles hybrides seraient réduits du fait des moindres efforts mécaniques exercés sur certains organes des véhicules. Ainsi, avec sa nouvelle Auris Hybride, Toyota annonce une économie potentielle de 2 500 euros sur trois ans et 150 000 km, sur le carburant, l’entretien et les pneumatiques. Pareillement, PSA Peugeot Citroën met en avant un coût complet moindre pour ses hybrides par rapport à leurs équivalents thermiques, en incluant le loyer financier, la fiscalité, la consommation, les pneus, l’entretien et la maintenance. De quoi peser sensiblement sur le TCO à l’échelle d’une flotte automobile.
Autre atout en faveur des hybrides : si les loueurs craignent encore l’effet nouveauté des véhicules électriques sur le marché de la revente, la question ne se poserait pas pour les modèles hybrides, en phase avec leurs homologues thermiques pour ce qui est des valeurs résiduelles.
Enfin, comme nous l’avons vu dans le point-clé précédent, la fiscalité demeure très favorable aux véhicules hybrides, avec des bonus de 2 000 à 5 000 euros, sans oublier l’exonération de TVS pendant deux ans. Gestionnaires de flotte et acheteurs, faites vos comptes !
CAHIER PRATIQUE : L'HYBRIDE
- CAHIER PRATIQUE L’HYBRIDE
- Hybride : des rejets polluants revus à la baisse
- Hybride : des technologies à géométrie variable
- Hybride : des économies avant tout en cycle urbain
- Hybride : deux motorisations, plus d’efficacité
- Hybride : un coût complet favorable à l’hybride
- Hybride : une conduite apaisée et plus sécurisée
- Hybride : une fiscalité verte et avantageuse
- Hybride : une offre de modèles large et crédible
- « Les véhicules hybrides ont été très bien accueillis » : Marie-Laure Tamas-Danfa, Cisco