
En 2011, 13 641 véhicules hybrides ont été immatriculés en France ; en 2012, ce chiffre s’est élevé à 27 890 véhicules, dont 18 021 pour l’hybride essence et 9 869 pour l’hybride diesel (source CCFA).
Plus qu’une technologie vitrine donc, l’hybride se positionne aujourd’hui comme une véritable alternative, y compris pour les professionnels. L’offre s’est enrichie grâce à Toyota qui travaille à généraliser sa technologie « full hybrid » à l’ensemble de sa gamme, de la petite Yaris aux grandes Lexus, en passant par la Prius.
De son côté, l’offre française de PSA Peugeot Citroën s’appuie sur l’hybride diesel, une technologie qui permet également à des modèles haut de gamme de passer sous la barre des 100 g/km de CO2, tout en offrant aux conducteurs des puissances élevées (200 ch). Et les constructeurs allemands ne sont pas en reste : Audi, BMW, Mercedes, Volkswagen et même Porsche misent sur l’hybride pour diminuer les émissions de leurs grosses cylindrées et échapper au malus.
Qu’elle soit grand public ou au contraire premium, l’offre hybride ne cesse de se développer sur tous les segments et de gagner en crédibilité. Dans les prochaines années, sa part de marché devrait fortement progresser sous l’effet conjugué des normes Euro et des politiques fiscales.
En 2012, 27 890 véhicules hybrides ont été immatriculés en France.
CAHIER PRATIQUE : L'HYBRIDE
- CAHIER PRATIQUE L’HYBRIDE
- Hybride : des rejets polluants revus à la baisse
- Hybride : des technologies à géométrie variable
- Hybride : des économies avant tout en cycle urbain
- Hybride : deux motorisations, plus d’efficacité
- Hybride : un coût complet favorable à l’hybride
- Hybride : une conduite apaisée et plus sécurisée
- Hybride : une fiscalité verte et avantageuse
- Hybride : une offre de modèles large et crédible
- « Les véhicules hybrides ont été très bien accueillis » : Marie-Laure Tamas-Danfa, Cisco