Segments A et B (citadines et polyvalentes) : un choix très restreint
Première démonstration du changement dû au passage au WLTP avec la Toyota Yaris Hybride (longueur : 3,94 m). Forte de 100 ch au total (75 ch essence et 61 ch en électrique), cette citadine, homologuée en 2017 à 77 g/km de CO2, est passée à 84 g, soit 10 % de plus en émissions comme en consommation (3,7 l/100 km en cycle mixte contre 3,3 l précédemment).
Tous les tarifs s’entendent TTC. Le CO2 indiqué est obligatoirement WLTP.
La fiscalité de la Yaris n’est pas fondamentalement modifiée : sous les 101 g de CO2, les hybrides essence sont exonérés de la première composante de la TVS pendant trois ans. Et l’utilisateur au quotidien sera rassuré de ne pas consommer plus qu’auparavant dans la réalité de la circulation urbaine : 3,5 l selon nos essais. En revanche, Toyota fait payer cher sa technologie « full hybrid » : il faudra débourser 20 500 euros pour y accéder en finition Business France.
Chez Suzuki, sur les Ignis, Swift et Baleno l’hybridation SHVS est dite « légère ». Une traduction impropre...
Tous les tarifs s’entendent TTC. Le CO2 indiqué est obligatoirement WLTP.
La fiscalité de la Yaris n’est pas fondamentalement modifiée : sous les 101 g de CO2, les hybrides essence sont exonérés de la première composante de la TVS pendant trois ans. Et l’utilisateur au quotidien sera rassuré de ne pas consommer plus qu’auparavant dans la réalité de la circulation urbaine : 3,5 l selon nos essais. En revanche, Toyota fait payer cher sa technologie « full hybrid » : il faudra débourser 20 500 euros pour y accéder en finition Business France.
Chez Suzuki, sur les Ignis, Swift et Baleno l’hybridation SHVS est dite « légère ». Une traduction impropre de « mild hybrid » qui consiste à implanter un alterno-démarreur alimenté par une petite batterie lithium-ion supplémentaire ; celui-ci apporte 50 Nm de couple au démarrage et en reprise pendant quelques dizaines de secondes.
Suzuki : une triplette sympathique
La Swift de Suzuki émet 90 g avec son 4-cylindres 1.2 l atmosphérique de 90 ch (16 840 euros), et 97 g dans sa version 3-cylindres 1.0 l turbo de 111 ch (18 040 euros). L’hybridation autorise une exonération de TVS sur 36 mois pour ce modèle.
Les émissions ne sont pas modifiées car Suzuki avait pris soin d’homologuer ses citadines selon le nouveau cycle. Ainsi, la Swift (longueur : 3,84 m) affiche 90 g avec son 4-cylindres 1.2 l atmosphérique de 90 ch (16 840 euros), et 97 g dans sa version 3-cylindres 1.0 l turbo de 111 ch (18 040 euros). Honorable bien que les consommations réelles ne soient pas si faibles que cela : plus de 5,5 l/100 km en conduite souple et économique alors que le cycle mixte est à 4,0 l. On notera surtout que cette hybridation « légère » autorise l’exonération de TVS sur 36 mois ! Un avantage qui échappe à la version hybride à transmission intégrale Allgrip qui passe malheureusement à 101 g (18 340 euros).
Sur la petite Ignis (longueur : 3,70 m), on retrouve cet avantage avec le 1.2 l de 90 ch à 97 g (15 740 euros), mais pas en Allgrip à 106 g (18 040 euros), ou encore sur la plus polyvalente Baleno (longueur : 4 m) à 93 g avec ce moteur, pour un prix compétitif de 17 250 euros.
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