
Le dernier Hyundai Tucson arbore une nouvelle identité stylistique, baptisée « sensuous sportiness ». Avec notamment une calandre intégrant des modules optiques triangulaires à effet miroir. Un effet nouveauté recherché par les designers pour remplacer l’ancien modèle, né en 2015. Un modèle qui avait fini par se faire discret sur le segment, face aux Peugeot 3008 (voir la brève) et Citroën C5 Aircross (voir la brève), entre autres.
Hyundai Tucson, un véhicule mondial
Les trois premières générations du Hyundai Tucson se sont toutefois vendues à plus de 7 millions d’exemplaires dans le monde depuis 2004, dont 1,4 million en Europe. Et la quatrième génération de ce SUV sera produite dans plusieurs usines à travers le monde, et notamment en Europe sur le site tchèque de Nošovice. En France, il arrivera en concessions en novembre 2020.
Long de 4,50 m (+ 20 mm), ce Tucson sera proposé avec des carrosseries bicolores et des options de personnalisation. Son style intérieur détonne également avec deux grands écrans : un pour l’instrumentation (10,2 ’’) et l’autre vertical sur la console centrale (à partir de 8 ’’), entièrement numérique et tactile. À l’arrière, la banquette est désormais fractionnable en trois parties et les dossiers sont inclinables. Le volume du coffre oscille, lui, entre 546 et 616 l selon les versions (soit entre 87 et 157 l de plus qu’avant).
Trois niveaux d’hybridation
Sous le capot de ce Tucson, toutes les motorisations sont hybridées. Le 1.6 essence T-GDi de 150 ch et le 1.6 diesel CRDi de 136 ch sont tous deux associés à la technologie hybride de 48 V (MHEV). Et ils peuvent s’équiper de la transmission à double embrayage à sept rapports (DCT-7). La version hybride (HEV) du Tucson associe quant à elle le 1.6 T-GDi et un moteur électrique de 44,2 kW, alimenté par une batterie lithium-ion polymère de 1,49 kWh. La puissance atteint au cumul 230 ch. Et en 2021, la gamme sera complétée par une version hybride rechargeable (PHEV) de 265 ch avec transmission intégrale (4×4).