« Nous n’avons aucune connaissance de ces applications et il faudrait savoir sur quel système d’exploitation elles fonctionnent et en évaluer le coût, sachant que notre flotte est principalement équipée de Blackberry », explique ce responsable qui appartient à la filiale de service du spécialiste des équipements de la personne.
Autre témoignage, celui de David Dos Santos, chef du service automobile de la région Île-de-France qui a équipé de smartphones les membres de son service, soit 40 conducteurs, afin d’améliorer la communication. Il n’envisage pas pour autant d’y intégrer une application liée à l’assistance. « Ce n’est pas...
« Nous n’avons aucune connaissance de ces applications et il faudrait savoir sur quel système d’exploitation elles fonctionnent et en évaluer le coût, sachant que notre flotte est principalement équipée de Blackberry », explique ce responsable qui appartient à la filiale de service du spécialiste des équipements de la personne.
Autre témoignage, celui de David Dos Santos, chef du service automobile de la région Île-de-France qui a équipé de smartphones les membres de son service, soit 40 conducteurs, afin d’améliorer la communication. Il n’envisage pas pour autant d’y intégrer une application liée à l’assistance. « Ce n’est pas une procédure vraiment habituelle pour une grande partie des personnes qui n’utilisent que sporadiquement ces véhicules, l’investissement ne serait pas très rentable », conclut-il.
Enfin, un gestionnaire de flotte, qui a souhaité rester anonyme, se dit intéressé sur le principe par les diverses fonctionnalités que constructeurs, loueurs, prestataires d’entretien ou assureurs proposent en termes d’informatique embarquée, telle la géolocalisation. Mais pour les smartphones, il les estime « encore trop peu répandus dans les entreprises, en particulier dans les populations non commerciales et non managériales (techniciens, livreurs, intervenants divers) pour envisager un développement à grande échelle. »