Jacques Demoz, Sennheiser : « Avec la LOA, nous nous occupons de la revente »
Chez le fabricant de casques audio Sennheiser, le crédit-bail l’a emporté sur la LLD pour les 26 véhicules. Un arbitrage qui suppose une solide organisation de la revente et du suivi.
Jacques Demoz est responsable des services généraux, chez Sennheiser.
« Pour financer la flotte en crédit-bail, nous avons négocié avec la banque pour des contrats de 48 ou 60 mois avec la possibilité de sortir quand nous le voulons au bout de 12, 24 ou 48 mois. Cela permet de fixer une loi de roulage à 140 000 km au maximum, et de racheter la voiture au bon moment.
Nous nous occupons de la revente. Cela est possible compte tenu de la petite taille du parc. Les ventes s’étalent sur trois ans pour nos 26 véhicules, soit sept ou huit par an. Un garage s’occupe de l’entretien courant et se charge de trouver des clients pour racheter les voitures...
Jacques Demoz est responsable des services généraux, chez Sennheiser.
« Pour financer la flotte en crédit-bail, nous avons négocié avec la banque pour des contrats de 48 ou 60 mois avec la possibilité de sortir quand nous le voulons au bout de 12, 24 ou 48 mois. Cela permet de fixer une loi de roulage à 140 000 km au maximum, et de racheter la voiture au bon moment.
Nous nous occupons de la revente. Cela est possible compte tenu de la petite taille du parc. Les ventes s’étalent sur trois ans pour nos 26 véhicules, soit sept ou huit par an. Un garage s’occupe de l’entretien courant et se charge de trouver des clients pour racheter les voitures. Pour les autres, nous passons des annonces et cela fonctionne très bien.
Pour optimiser cette revente, nous travaillons la car policy régulièrement, par exemple à l’occasion de rencontres avec des confrères qui nous font part de leurs choix. De manière générale, nous essayons de sélectionner des modèles bien équipés en vue de cette revente.
Notre car policy comprend aujourd’hui deux marques, Peugeot et Volkswagen, avec à la clé des remises importantes. Récemment, nous avons intégré une grosse série du nouveau 3008 mais nous avons aussi des 308 et des Golf.
Pour m’assurer de leur bonne valeur résiduelle, j’assure un suivi visuel régulier des véhicules sur nos parkings. Nous avons également accentué les efforts sur la prévention. Nous faisons venir l’assureur une fois par an pour expliquer les problématiques liées à l’assurance. Pour les petites dégradations, nous demandons aux conducteurs d’avertir dès que possible pour réparer rapidement. Nous avons passé des accords avec un carrossier local : s’il y a de petites rayures, nous passons les véhicules en carrosserie avant la revente.
Ces réparations n’ont pas d’impact financier : nous revendons les véhicules systématiquement au-dessus du prix auquel nous les avons rachetés à la banque à la fin du crédit-bail. La petite plus-value réalisée compense les frais éventuels dus à ces réparations. »
Retrouvez {{title}} dans le Guide Flottes Automobiles.
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