« Pour équiper nos commerciaux juniors, nous avons récemment opté pour des Volkswagen polo Confortline TDI Business. Entre autres raisons à ce choix, l’avantage fiscal des 99 g/km de CO2 et le niveau d’équipement fourni : régulateur de vitesse, téléphonie mains-libre, radar de stationnement. Cette dotation répond à nos besoins en termes financiers et de sécurité, mais pas uniquement. il y a aussi un aspect RH important : le modèle en question plaît à nos collaborateurs et renvoie une bonne image de la société. C’est un gage de motivation pour nos équipes et de différenciation pour notre entreprise.
En matière d’équipements, les deux assistances...
« Pour équiper nos commerciaux juniors, nous avons récemment opté pour des Volkswagen polo Confortline TDI Business. Entre autres raisons à ce choix, l’avantage fiscal des 99 g/km de CO2 et le niveau d’équipement fourni : régulateur de vitesse, téléphonie mains-libre, radar de stationnement. Cette dotation répond à nos besoins en termes financiers et de sécurité, mais pas uniquement. il y a aussi un aspect RH important : le modèle en question plaît à nos collaborateurs et renvoie une bonne image de la société. C’est un gage de motivation pour nos équipes et de différenciation pour notre entreprise.
En matière d’équipements, les deux assistances que je préconise en priorité sont le régulateur de vitesse, pour son double impact sur la consommation et le comportement, et le système de téléphonie Bluetooth : il a l’avantage d’être légal et utilisable sans lâcher les mains du volant. Certes, ces deux équipements peuvent entraîner des effets gênants, notamment des pertes d’attention et de vigilance. Mais bien employés, ils apportent un confort et une sérénité dont on ne peut plus se passer aujourd’hui. Ce qui n’est pas le cas de toutes les assistances : le radar de recul ne me paraît pas indispensable. En revanche, le système de contrôle de la vigilance proposé sur la Mercedes Classe B et la Ford Focus me semble très prometteur. Nos collaborateurs font parfois plus de 500 km par jour et sont donc particulièrement exposés à ce type de risques. L’assistance au freinage d’urgence, qui préactive les freins à l’approche d’un danger, pourrait également être d’un grand secours. Car, c’est connu, on ne freine jamais assez fort dans les situations extrêmes.
Cependant, en tant que gestionnaires, des contraintes économiques fortes nous limitent dans les choix d’options. Et malheureusement, il n’existe pas d’avantages fiscaux – un bonus sécurité par exemple – pour inciter les entreprises à mieux équiper leurs véhicules. Il ne faut pas oublier enfin le facteur humain qui reste le plus important pour la sécurité : mille assistances ne rattraperont jamais un mauvais conducteur. La formation des usagers et le respect du code de la route demeurent les meilleurs garants de la sécurité. »

La flotte de Riso France en chiffres
• 150 véhicules dont 116 voitures
de société et 34 VP