Jenkiz Saillet, directeur commercial et marketing, Novacel : « la LLD est la meilleure solution »

À l’heure actuelle, la flotte compte une cinquantaine de véhicules. Ce sont principalement des berlines ou des breaks commerciaux Ford et Audi. Les voitures sont destinées aux commerciaux ou aux techniciens du service après-vente presque exclusivement, et quelques-unes aux managers. Les véhicules sont en LLD, sur des périodes de trois ans, avec un kilométrage de 120 000 à 170 000 km par an selon les utilisateurs. Le choix de la LLD s’est imposé pour la facilité de son application.

À une époque, nous avons fonctionné avec des véhicules personnels des commerciaux dont nous remboursions les frais au kilométrage. Mais nous nous sommes aperçus qu’en termes de rentabilité et de fonctionnalité, la meilleure solution était de disposer des voitures de fonction avec un contrat de LLD. Début 2005, nous avons changé progressivement pour cette formule. Nous avons alors effectué des demandes auprès de deux sociétés : Arval et LeasePlan. Leurs propositions restaient somme toute assez similaires. Aujourd’hui, nous travaillons avec Arval. Il était hors de question d’acquérir les véhicules, ce qui posait problème pour leur renouvellement. Nous restons une PME-PMI : acheter les véhicules, cela veut dire organiser leur entretien, trouver des contrats particuliers pour les pneumatiques, mais aussi les revendre.

Acquérir, c’est se mettre sur le dos toutes les contraintes liées à la propriété. Ce n’était pas envisageable. Avec la LLD, l’intégralité des budgets et des coûts sont fixés : entretien, coût financier mensuel, et cela nous permet de nous adapter rapidement en cas de besoin ou de changement de véhicules. Pour l’assurance, nous sommes passés par notre propre assureur : dans une PME, il faut aller au plus pratique. Pour les arbitrages entre véhicules, nous avons deux modèles fixes pour les commerciaux et un modèle fixe pour les techniciens. Les commerciaux choisissent entre une Audi A3 et une Ford Focus puisqu’ils participent mensuellement aux frais. Nous avons procédé à quelques ajustements dans le cadre de renouvellements à l’identique depuis le début de nos contrats. Si nous devions changer de politique, ce serait un changement global ; il faudrait s’y atteler quelques semaines mais nous manquons de temps pour le faire.