
Née en 2009 uniquement en essence, la Kia Soul a été rejointe en 2014 par une motorisation électrique en e-Soul. Et la troisième génération de cette citadine du segment B (4,19 m de long) aux allures de crossover cubique, ne compte plus que sur ses motorisations électriques pour séduire tous ceux qui n’aurait pas besoin du e-Niro (voir notre essai), SUV plus imposant et cher (+ 1 200 euros et + 18 cm). En revanche, cette nouvelle e-Soul reprend du e-Niro l’ensemble électromécanique et les batteries : 39,2 kWh en 136 ch avec 276 km d’autonomie (à partir de 37 300 euros) et 64 kWh en 204 ch avec 452 km d’autonomie (+ 4 000 euros). Marc Hedrich, le président de Kia France, mise sur une large majorité de ventes dans cette version plus puissante, la version 136 ch ne représentant que quelques pour-cents du total, ce qui est déjà le cas pour l’e-Niro. Il voit même 60 % du mix en finition e-Design de deuxième niveau, à pas moins de 43 300 euros, hors bonus de 6 000 euros. Et de regretter déjà son contingent de seulement 400 unités pour cette année.