
« Désormais, au deuxième accident responsable, le collaborateur paie la franchise. Nous voulons aussi des véhicules en meilleur état lors de la restitution ; nous établissons donc un barème de vétusté. La société paie les premiers 500 euros de remise en état, le reste étant à la charge du collaborateur », explique Stéphane Fouillard, directeur administratif et financier de Kinnarps.
Ce dernier note que certains de ses collègues, dans d’autres sociétés, utilisent un système de bonus-malus : si le véhicule est correct, le collaborateur bénéficie lors du renouvellement de plus d’options de confort… et inversement. « Nous...
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