Une première difficulté concerne le rapatriement des données entre différents logiciels, comme en témoigne Olivier Girod d’ISS France : « Lors de la mise en place de SIP 2, nous avons dû récupérer les données de notre ancien logiciel, ce qui n’a pas été chose simple. À cette occasion, nous avons dû de nouveau centraliser l’ensemble des données de la flotte. »
Autre difficulté technique : l’intégration automatique des données des prestataires. « Dans un marché dématérialisé il n’existe en effet pas de normes pour les formats des fichiers transmis par les prestataires. Un bon logiciel est capable de traiter l’ensemble des formats...
Une première difficulté concerne le rapatriement des données entre différents logiciels, comme en témoigne Olivier Girod d’ISS France : « Lors de la mise en place de SIP 2, nous avons dû récupérer les données de notre ancien logiciel, ce qui n’a pas été chose simple. À cette occasion, nous avons dû de nouveau centraliser l’ensemble des données de la flotte. »
Autre difficulté technique : l’intégration automatique des données des prestataires. « Dans un marché dématérialisé il n’existe en effet pas de normes pour les formats des fichiers transmis par les prestataires. Un bon logiciel est capable de traiter l’ensemble des formats mais il peut arriver que des prestataires n’aient pas de formats standards. Les solutions : employer un format alternatif proposé par l’éditeur ou demander au prestataire de développer un format spécifique », détaille Jean-Michel Julian pour l’éditeur InfoParc.
Enfin, l’interfaçage du logiciel de gestion de flotte avec d’autres applications métiers en interne n’est pas toujours simple, tout comme l’interfaçage avec un outil de type ERP. « Et cela sans compter l’ajout de modules pour donner l’accès à d’autres services, ce qui demande un paramétrage attentif du logiciel », pointe Étienne Moncomble, pour Nanterre.