« Nous avons toujours été en LLD, explique Laurent Cheviron, dirigeant de La Gerbe d’Or. Cette solution s’impose par sa souplesse. De plus, nous n’avons aucune compétence en interne pour gérer les véhicules alors que nos partenaires disposent d’une offre exhaustive pour les prendre en charge. Enfin, avec la LLD, nous n’avons pas à nous endetter et nous conservons les capacités d’investissement pour l’outil industriel. »
À la tête de 45 collaborateurs, La Gerbe d’Or livre 365 jours par an des entreprises et des établissements scolaires avec sa flotte de 10 VUL. L’entreprise utilise aussi un camion frigorifique, un Citroën Berlingo et un véhicule...
« Nous avons toujours été en LLD, explique Laurent Cheviron, dirigeant de La Gerbe d’Or. Cette solution s’impose par sa souplesse. De plus, nous n’avons aucune compétence en interne pour gérer les véhicules alors que nos partenaires disposent d’une offre exhaustive pour les prendre en charge. Enfin, avec la LLD, nous n’avons pas à nous endetter et nous conservons les capacités d’investissement pour l’outil industriel. »
À la tête de 45 collaborateurs, La Gerbe d’Or livre 365 jours par an des entreprises et des établissements scolaires avec sa flotte de 10 VUL. L’entreprise utilise aussi un camion frigorifique, un Citroën Berlingo et un véhicule de direction. Le financement du parc et les services associés sont assurés par Fraikin. Les contrats de LLD courent sur trois ans et les véhicules sont entretenus et remis en état régulièrement.
« Les véhicules de livraison circulent entre 2 h 00 et 11 h 00 du matin, souligne Laurent Cheviron. Leur état de marche doit être rassurant pour les conducteurs. Ils ne doivent pas tomber en panne. Depuis que je suis arrivé dans l’entreprise il y a trois ans, nous n’avons jamais eu à déplorer de problème mécanique. »
Le financement, un choix comptable
Les véhicules n’apparaissent pas dans les immobilisations au bilan comptable mais comme une charge qui permet une optimisation fiscale. La Gerbe d’Or a déposé le bilan il y a trois ans. Laurent Cheviron aurait préféré acheter ses véhicules pour améliorer son compte d’exploitation, mais la banque a refusé d’accorder un crédit au vu de la situation financière de l’entreprise.
« En achat, l’amortissement est étalé dans le temps, observe Laurent Cheviron. Si le véhicule coûte 20 000 euros, vous pouvez l’amortir sur cinq ans, soit 4 000 euros par an. En LLD, il est difficile d’aller au-delà de trois ans. Le coût annuel de ce mode de financement s’élève à 9 000 euros, ce qui dégrade le résultat et réduit le montant de l’impôt. Mais de toute façon, avec nos déficits antérieurs qui sont reportables, l’entreprise n’en paie pas. »
Laurent Cheviron apprécie essentiellement la souplesse d’utilisation de la LLD. Toutes les opérations de gestion sont prises en charge par le partenaire choisi. La Gerbe d’Or suit ses kilométrages et ses consommations, mais l’accompagnement de Fraikin lui évite d’avoir des ressources en interne pour gérer la flotte. « Cela étant, si j’avais eu le choix, j’aurais opté pour le crédit-bail, reconnaît Laurent Cheviron. Avec cette formule, les véhicules n’apparaissent pas dans le bilan et c’est ce que j’aurais souhaité. »