« La LLD pour ne pas rester immobilisée », Aline Guehery, infirmière

Alors qu’elle parcourt facilement 30 000 km par an pour exercer sa profession d’infirmière à Metz, Aline Guehery a opté pour la LLD. Un choix dû notamment à l’offre de services.
- Magazine N°212
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Aline Guehery

« Nous sommes deux infirmières, chacune avec son véhicule. Personnellement, j’ai procédé au calcul avec mon comptable il y a environ neuf ans : opter pour la LLD s’est révélé plus intéressant que de recourir à un crédit, de payer l’assurance et l’entretien. Je change de véhicule tous les trois ou quatre ans et je repars avec un neuf », décrit Aline Guehery.

Cette dernière a choisi une solution clef en main : véhicule, entretien, assurance, pneus et véhicule de remplacement. Parmi les avantages autres que financiers, Aline Guehery met en avant le fait de ne pas avoir à se préoccuper de la revente. Et surtout : « Quand j’ai commencé avec le financement en LLD, le dépannage au zéro kilomètre n’existait pas – contrairement à aujourd’hui. En tant que profession libérale, toujours sur la route, je ne peux me permettre d’être immobilisée à la première panne. Et cela m’est arrivé plusieurs fois. Avec Arval, je récupère en une heure un autre véhicule ».

Son choix de voiture ? « Je ne regarde pas spécialement les émissions de CO2 mais plus le coût mensuel. Et je veille tout particulièrement à mon confort personnel car je passe une grande partie de la journée dans ce véhicule. » Aline Guehery roule en Nissan Qashquai.

Son principal regret ? Son associée continue en leasing par habitude. « Si nous étions toutes deux en LLD, nous pourrions louer sur le compte de la société civile professionnelle et récupérer la TVA. Actuellement, je marche au forfait kilométrique plutôt qu’aux frais réels », explique cette infirmière. En estimant que de nombreuses consœurs et confrères ont fait le choix de la LLD.