Pour combattre l’engrenage des dégradations non réparées que le conducteur ne voit plus et qui finissent par s’accumuler avant la fin du contrat, l’audit de parc peut faire office d’opération de prévention. « Un véhicule qui est audité et entretenu en milieu de contrat aura tendance à avoir moins de dommages en fin de contrat », constate Bertrand Durand pour Macadam.
Reste que pour les spécialistes, l’efficacité de l’opération n’est pas prouvée : « La pré-restitution n’empêche pas qu’une nouvelle dégradation se produise. Mais elle donne une première valeur indicative, à date, du montant qui sera facturé au client en fin de contrat », rappelle...
Pour combattre l’engrenage des dégradations non réparées que le conducteur ne voit plus et qui finissent par s’accumuler avant la fin du contrat, l’audit de parc peut faire office d’opération de prévention. « Un véhicule qui est audité et entretenu en milieu de contrat aura tendance à avoir moins de dommages en fin de contrat », constate Bertrand Durand pour Macadam.
Reste que pour les spécialistes, l’efficacité de l’opération n’est pas prouvée : « La pré-restitution n’empêche pas qu’une nouvelle dégradation se produise. Mais elle donne une première valeur indicative, à date, du montant qui sera facturé au client en fin de contrat », rappelle Christophe Delivet chez Arval.
Au-delà de la question de son efficacité, cet audit de pré-restitution suppose de rassembler le responsable de parc, un expert et un conducteur. « Cela demande de mobiliser les personnes pour une heure, ce qui est difficile pour tous les échelons de l’entreprise : cadres supérieurs, commerciaux ou itinérants », pointe Dominique Rolland pour Alcatel-Lucent.