« Mais dès lors que le niveau d’émissions de CO2 s’est positionné en tête des critères de sélection des véhicules, ce volet constructeurs devait s’ouvrir, sous peine de passer trop souvent à côté de modèles performants », précise Damien Feld, l’acheteur en charge du dossier. Ainsi, le nombre de constructeurs consultés n’est plus figé : chaque année, une « short-list » de véhicules est constituée sur la base des émissions et soumise au groupe de travail NCS (New Car Solution) qui veille à leur adéquation aux usages. Intervient ensuite l’optimisation du TCO, via la négociation avec les constructeurs et le choix avec la filiale ALD...
« Mais dès lors que le niveau d’émissions de CO2 s’est positionné en tête des critères de sélection des véhicules, ce volet constructeurs devait s’ouvrir, sous peine de passer trop souvent à côté de modèles performants », précise Damien Feld, l’acheteur en charge du dossier. Ainsi, le nombre de constructeurs consultés n’est plus figé : chaque année, une « short-list » de véhicules est constituée sur la base des émissions et soumise au groupe de travail NCS (New Car Solution) qui veille à leur adéquation aux usages. Intervient ensuite l’optimisation du TCO, via la négociation avec les constructeurs et le choix avec la filiale ALD Automotive de la formule de LLD la plus favorable.
Actuellement, la Société Générale recourt aux groupes Renault, PSA et Volkswagen, mais sans garantie d’une année sur l’autre. En 2010, la 207 de Peugeot avait été retenue en exclusivité sur le segment B via des enchères, tandis que cette année a vu retenir la Seat Ibiza qui affiche 89 g, avec des performances et une qualité assez similaire aux VW, mais de meilleures conditions commerciales.
« La réussite a été d’assurer l’ouverture du système, tout en renforçant le principe de partenariat : les constructeurs bénéficient d’un maximum de visibilité sur les volumes, ajoute Damien Feld. Le volume annuel de renouvellements n’est pas trop difficile à anticiper, mais il s’agit surtout d’encourager les clients internes à passer tôt leurs commandes, si possible à 80 % au premier semestre ». À la clé : un pilotage plus aisé des parts de marché, avec les remises de fin d’année en ligne de mire, et moins de problèmes de délais de livraison.