« Les clés pour optimiser les VR sont avant tout entre les mains des constructeurs », souligne d’emblée Dominique Allain, directeur général d’Autovista, spécialiste du pricing des véhicules. Pour qui les autres acteurs du marché n’ont qu’une influence marginale. Une influence du reste plus liée au travail de remarketing qu’à une véritable action sur les VR.
« Trois facteurs essentiels permettent d’influer sur les VR : tout d’abord l’image de marque des constructeurs, même si la vie d’une marque reste assez complexe ; ensuite la légitimité des produits : certains concepts, comme les monospaces 2 portes, ne “collent“ pas forcément à la...
« Les clés pour optimiser les VR sont avant tout entre les mains des constructeurs », souligne d’emblée Dominique Allain, directeur général d’Autovista, spécialiste du pricing des véhicules. Pour qui les autres acteurs du marché n’ont qu’une influence marginale. Une influence du reste plus liée au travail de remarketing qu’à une véritable action sur les VR.
« Trois facteurs essentiels permettent d’influer sur les VR : tout d’abord l’image de marque des constructeurs, même si la vie d’une marque reste assez complexe ; ensuite la légitimité des produits : certains concepts, comme les monospaces 2 portes, ne “collent“ pas forcément à la demande ; enfin, la politique commerciale qui décide des volumes et des marchés sur lesquels agir », énumère Dominique Allain. Ainsi, les constructeurs peuvent ajuster les VR en fonction des segments de marché, par exemple en faisant appel à la location courte durée. Néanmoins, ils ne contrôlent pas tout parfaitement, en particulier les flottes automobiles professionnelles qui s’intéressent de plus plus en à leur TCO, et notamment à la dépréciation de leurs véhicules, et donc à leur VR. D’où d’ailleurs leur recours aux prestations d’Autovista.