
Le loueur, qui défend donc son métier, estime cette économie à 250 euros à l’année par véhicule. Ce gain pourrait être réalisé notamment sur les coûts cachés comme le temps d’échange entre l’assureur et le loueur par l’intermédiaire du gestionnaire de flotte après un sinistre. « Pour 48 % des multinationales, le gestionnaire de flotte global ou local n’est pas partie prenante des décisions en matière d’assurance de flotte », pointe l’étude.