Laura Genest est directrice générale du Groupe Roulliaud.
« Avec la télématique, au départ, nous voulions disposer d’un outil de contrôle en géolocalisant nos véhicules. Nous souhaitions nous assurer du respect des horaires sur les chantiers. Le but était aussi de localiser nos salariés à l’instant T pour répondre aux attentes des clients. Et de nouveaux enjeux ont émergé avec la hausse générale des coûts et une plus forte prise de conscience écologique.
Nous avons choisi l’outil d’Océan pour sa simplicité d’usage, la lisibilité et l’ergonomie de la plate-forme. Comme l’utilisation est intuitive, nous n’avons pas perdu de temps en...
Laura Genest est directrice générale du Groupe Roulliaud.
« Avec la télématique, au départ, nous voulions disposer d’un outil de contrôle en géolocalisant nos véhicules. Nous souhaitions nous assurer du respect des horaires sur les chantiers. Le but était aussi de localiser nos salariés à l’instant T pour répondre aux attentes des clients. Et de nouveaux enjeux ont émergé avec la hausse générale des coûts et une plus forte prise de conscience écologique.
Nous avons choisi l’outil d’Océan pour sa simplicité d’usage, la lisibilité et l’ergonomie de la plate-forme. Comme l’utilisation est intuitive, nous n’avons pas perdu de temps en formation. De plus, tout au long du projet, nous avons bénéficié d’un accompagnement personnalisé avec un interlocuteur unique. Notre équipe technique a été formée à installer les boîtiers et nous avons été autonomes lors de cette opération. Enfin, le côté fonctionnel et évolutif nous a convaincus.
Avant tout, nous réalisons des points de contrôle de l’état du parc à l’aide de la géolocalisation. Une fonctionnalité d’autant plus précieuse que nous testons la semaine de quatre jours depuis janvier 2023, un grand changement pour les salariés. Avec cet outil, nous vérifions que nos équipes s’adaptent à ces nouveaux horaires. Notre pôle logistique attribue aussi les camions et les véhicules en fonction des données obtenues grâce à la télématique.
« Nous réfléchissons à lancer des challenges » (Laura Genest, Groupe Roulliaud)
Parmi les bénéfices, nos collaborateurs redoublent d’attention et évitent les abus. Nous pouvons aussi vérifier que les véhicules sont bien répartis selon les besoins, ou sensibiliser au covoiturage et donc limiter les factures de carburant. Enfin, avec la géolocalisation, nous avons retrouvé des véhicules perdus ou non restitués. En outre, nos véhicules sont identifiables, avec un véritable enjeu d’image : quand nous recevons un signalement, nous pouvons alors, avec la plate-forme, identifier le conducteur. Souvent, les fautifs sont aussi ceux qui consomment le plus et qui ont le plus d’accrochages.
Notre responsable de la sécurité déploie des actions de sensibilisation à l’éco-conduite. Le module d’éco-conduite d’Océan y contribue. Cette démarche doit générer des gains de carburant, diminuer l’accidentologie et l’impact environnemental. Ces dernières années, nos dépenses de carburant ont pratiquement doublé et, en huit ans, nos primes d’assurance ont augmenté de 110 %. L’éco-conduite nous paraît une piste intéressante pour réduire les frais généraux.
Nous réfléchissons à lancer des challenges avec la solution. Des récompenses inciteront les collaborateurs à davantage de responsabilité. L’idée est d’afficher les résultats pour intégrer la démarche à la culture de l’entreprise. Nous cherchons aussi à construire des formations à l’éco-conduite et avec l’outil, nous connaîtrons les collaborateurs à cibler en priorité. Cette action entre dans une démarche RSE plus globale dont l’électrification d’une partie de la flotte. »