« Nous disposons d’un logiciel créé en interne pour suivre les données relatives à l’entretien, aux contrôles techniques ou encore aux contrôles anti-pollution. Avec à la clé le prix de revient kilométrique pour chaque véhicule. En analysant ces données, nous nous sommes rendus compte qu’il nous en coûterait moins cher de négocier en direct avec un prestataire de vitrage plutôt que de passer par un assureur », explique Thierry Deniau, responsable achats et services généraux de l’entreprise.
Une tendance à l’auto-assurance confirmée par Paul Scandella, en charge du projet pare-brise chez Norauto : « De par le grand nombre de kilomètres généralement...
« Nous disposons d’un logiciel créé en interne pour suivre les données relatives à l’entretien, aux contrôles techniques ou encore aux contrôles anti-pollution. Avec à la clé le prix de revient kilométrique pour chaque véhicule. En analysant ces données, nous nous sommes rendus compte qu’il nous en coûterait moins cher de négocier en direct avec un prestataire de vitrage plutôt que de passer par un assureur », explique Thierry Deniau, responsable achats et services généraux de l’entreprise.
Une tendance à l’auto-assurance confirmée par Paul Scandella, en charge du projet pare-brise chez Norauto : « De par le grand nombre de kilomètres généralement effectués par les véhicules, on constate généralement que les professionnels s’auto-assurent en bris de glace car leur sinistralité est plus élevée que pour le particulier. Ce qui suppose aussi de réduire le coût de la prestation », complète le responsable.