« En moyenne en France, les quatorze services d’auto-partage publics comptent environ 20 % d’abonnées professionnels », souligne Jean-Baptiste Schmider, directeur du réseau France Autopartage.
À titre d’exemple, Nice et son service Auto Bleue, avec actuellement environ 300 abonnés professionnels, proposent aux entreprises un abonnement, avec un forfait de 10 heures d’utilisation par mois. Des heures mutualisées parmi les collaborateurs et reportées sur le mois suivant si non consommées, contrairement à la formule destinée aux particuliers.
« Pour 50 euros par mois, auxquels s’ajoutent 15 euros par personne pour la création du badge,...
« En moyenne en France, les quatorze services d’auto-partage publics comptent environ 20 % d’abonnées professionnels », souligne Jean-Baptiste Schmider, directeur du réseau France Autopartage.
À titre d’exemple, Nice et son service Auto Bleue, avec actuellement environ 300 abonnés professionnels, proposent aux entreprises un abonnement, avec un forfait de 10 heures d’utilisation par mois. Des heures mutualisées parmi les collaborateurs et reportées sur le mois suivant si non consommées, contrairement à la formule destinée aux particuliers.
« Pour 50 euros par mois, auxquels s’ajoutent 15 euros par personne pour la création du badge, une société peut ainsi disposer d’un moyen de transport alternatif et propre », argumente Thierry Chiocca, directeur de Venap, société d’exploitation d’Auto Bleue. Un système qui, selon Thierry Chiocca, répond parfaitement aux besoins ponctuels de déplacement des TPE et PME : « La stratégie diffère pour les grands comptes. Pour eux, faire appel à l’auto-partage électrique reste un moyen de réduire la taille de leur parc de véhicules de service. Parfois, ils se rendent compte qu’un ou deux véhicules sont rarement employés et les remplacent donc par un abonnement au service. »
Un fonctionnement qui semble susciter un engouement toujours plus prononcé de la part des entreprises. « La première année, nous ne comptions aucun client professionnel. Aujourd’hui, ce système capte de plus en plus leur intérêt. Il suffit de sauter le pas et de faire tomber des réticences purement psychologiques sur ce service encore assez peu connu », conclut Thierry Chiocca.