La société californienne a déjà accumulé des centaines de milliers de kilomètres avec ses prototypes sur des bases de Toyota Prius ou Lexus. Elle a aussi su construire et communiquer sur ses capacités dans ce nouveau domaine : une récente étude du cabinet KPMG montre que les Américains sont plus facilement prêts à faire confiance à Google qu’à un constructeur classique au moment de passer à la voiture autonome.
L’ambition se veut énorme, à la mesure de la cartographie mondiale élaborée par Google. Et les enjeux commerciaux tout aussi imposants, à l’heure où les standards de communication entre véhicules et infrastructures se dessinent,...
La société californienne a déjà accumulé des centaines de milliers de kilomètres avec ses prototypes sur des bases de Toyota Prius ou Lexus. Elle a aussi su construire et communiquer sur ses capacités dans ce nouveau domaine : une récente étude du cabinet KPMG montre que les Américains sont plus facilement prêts à faire confiance à Google qu’à un constructeur classique au moment de passer à la voiture autonome.
L’ambition se veut énorme, à la mesure de la cartographie mondiale élaborée par Google. Et les enjeux commerciaux tout aussi imposants, à l’heure où les standards de communication entre véhicules et infrastructures se dessinent, et où les plates-formes de technologies connectées reflètent déjà la guerre avec l’autre géant, Apple.