1er cas de figure
L’entreprise a défini sa car policy en ciblant des niveaux de véhicules et des modèles, mais en laissant les marques libres, à l’intérieur d’un périmètre qu’elle définit. Elle laisse ainsi le loueur choisir la marque qui lui permet d’être le mieux placé car il peut bénéficier d’une meilleure valeur résiduelle et/ou d’un meilleur prix sur tel modèle de telle marque.
Le catalogue de la consultation définit donc :
- Le segment : véhicule de type citadine, segment B, etc.
- L’énergie : essence, diesel, etc.
- La motorisation : 1.5 dci 70 ch ou un maximum d’émissions de CO2 de 120 g
- La finition : complexe à définir car cette définition...
1er cas de figure
L’entreprise a défini sa car policy en ciblant des niveaux de véhicules et des modèles, mais en laissant les marques libres, à l’intérieur d’un périmètre qu’elle définit. Elle laisse ainsi le loueur choisir la marque qui lui permet d’être le mieux placé car il peut bénéficier d’une meilleure valeur résiduelle et/ou d’un meilleur prix sur tel modèle de telle marque.
Le catalogue de la consultation définit donc :
- Le segment : véhicule de type citadine, segment B, etc.
- L’énergie : essence, diesel, etc.
- La motorisation : 1.5 dci 70 ch ou un maximum d’émissions de CO2 de 120 g
- La finition : complexe à définir car cette définition est liée à la marque et au modèle
- Les équipements principaux : climatisation, limitateur de vitesse
- Les lois de roulage
- Nombre de véhicules par loi de roulage
2e cas de figure
L’entreprise a défini très précisément – marque et modèle – le ou les types de véhicules.
- La marque
- Le modèle
- L’énergie : essence, diesel, etc.
- La motorisation : 1.5 dci 70 ch ou un maximum d’émissions de CO2 de 120 g
- La finition
- Les équipements principaux : climatisation, limitateur de vitesse
- Les lois de roulage
- Le nombre de véhicules par loi de roulage
Pour un même segment, l’entreprise peut éventuellement :
- demander la cotation de plusieurs marques ou modèles qu’elle a prédéfinis,
- ne citer qu’un modèle/marque, mais laisser le loueur proposer des alternatives qui lui paraissent mieux placées.
3e cas de figure
L’entreprise a défini très précisément la marque et les modèles. Elle bénéficie d’un accord de prix avec le constructeur compte tenu des quantités qu’elle achète.
Si la flotte est suffisamment importante, le loueur pourra donc, avec l’accord du constructeur, convenir d’un accord tripartite. Ceci permet au loueur d’acheter au constructeur avec les conditions de remise que celui octroie au client. Le loueur calcule alors le loyer sur le prix tarif diminué de la remise client. Celui-ci bénéficie alors à la fois intégralement de son avantage prix constructeur et du service LLD de son loueur. Dans ce cas, le catalogue est présenté de la même manière que dans le deuxième cas de figure, mais en indiquant pour chaque modèle le niveau de remise constructeur.
Le cas véhicules utilitaires
Pour chaque modèle, on précisera en plus la charge utile ainsi que les dimensions intérieures « utiles » nécessaires à la conduite des missions.
Le conseil de l’expert
Concevez votre consultation en anticipant à l’avance le dépouillement des offres et l’analyse comparative car vous aurez à comparer des centaines de prix.
En effet, si vous avez 4 niveaux de car policy, 3 véhicules par niveau et 5 lois de roulage, vous aurez donc 4 x 3 x 5 = 60 prix au final dans votre contrat.
Et pendant la consultation, si vous consultez 4 loueurs à travers 3 constructeurs, vous aurez à analyser 60 x 3 x 4 = 720 prix
Organisez donc votre consultation de manière à faciliter le traitement des réponses.