« Mais la démarche aura ses limites : nos agents parcourent peu de kilomètres par an et la plupart de nos véhicules ne sont pas individualisés. Il nous faut donc cibler les agents qui roulent le plus régulièrement. C’est vrai avec ceux de la direction de la propreté et de l’eau qui conduisent des bennes à ordures mais dont le cas reste très atypique », prévient François Prochasson. Les conducteurs de poids lourds, une centaine, ne suivent pas de leur côté des circuits réguliers mais pourraient être concernés.
Cependant, l’éco-conduite cible en priorité les 120 conducteurs du pool, c’est-à-dire les 75 conducteurs présents à l’hôtel...
« Mais la démarche aura ses limites : nos agents parcourent peu de kilomètres par an et la plupart de nos véhicules ne sont pas individualisés. Il nous faut donc cibler les agents qui roulent le plus régulièrement. C’est vrai avec ceux de la direction de la propreté et de l’eau qui conduisent des bennes à ordures mais dont le cas reste très atypique », prévient François Prochasson. Les conducteurs de poids lourds, une centaine, ne suivent pas de leur côté des circuits réguliers mais pourraient être concernés.
Cependant, l’éco-conduite cible en priorité les 120 conducteurs du pool, c’est-à-dire les 75 conducteurs présents à l’hôtel de ville, et la quarantaine de conducteurs affectés aux mairies d’arrondissement. « Sans négliger une particularité : ceux-ci roulent en moyenne 15 000 km par an, avec de très nombreux temps d’attente », précise François Prochasson.
