Aujourd’hui, 35 agences franchisées proposent ce service et quatre autres ouvrent leurs portes chaque mois. Dernières villes couvertes : Angers, Nancy, Dijon et Saint-Malo. Ecolave vise 50 enseignes avant la fin de l’année. Pour maintenir la qualité des prestations et soutenir les franchisés, Jérémy Richard a engagé un animateur réseau. Le concept surfe sur deux tendances fortes : le souci environnemental et le service à domicile. Reste à savoir si le marché sera suffisamment étendu pour faire vivre l’ensemble des acteurs.
Des entreprises spécialisées comme Ecowash, Sineo, NettyCars ou Cosméticar se déplacent également ou opèrent dans des...
Aujourd’hui, 35 agences franchisées proposent ce service et quatre autres ouvrent leurs portes chaque mois. Dernières villes couvertes : Angers, Nancy, Dijon et Saint-Malo. Ecolave vise 50 enseignes avant la fin de l’année. Pour maintenir la qualité des prestations et soutenir les franchisés, Jérémy Richard a engagé un animateur réseau. Le concept surfe sur deux tendances fortes : le souci environnemental et le service à domicile. Reste à savoir si le marché sera suffisamment étendu pour faire vivre l’ensemble des acteurs.
Des entreprises spécialisées comme Ecowash, Sineo, NettyCars ou Cosméticar se déplacent également ou opèrent dans des parkings avec des chiffons imbibés et des pulvérisateurs. L’avantage : le collaborateur laisse le véhicule où il veut et l’entreprise de nettoyage se charge du reste. Et la conscience écologique du client est soulagée : cette technique gaspille un minimum d’eau, contre 50 à 60 litres pour un lavage haute pression, 100 à 350 pour un lavage aux rouleaux et jusqu’à 500 pour un lavage à domicile. Le ministère de l’écologie estime que le lavage des automobiles françaises pèse 6 % de la consommation d’eau potable.
Mais le lavage sans eau a un inconvénient de taille, son prix : entre 30 et 60 euros, alors que les rouleaux affichent de 10 à 12 euros et le lavage haute pression, 4 à 6 euros. « De plus, précise Christophe Vogel, chef des ventes d’Élephant Bleu, réseau qui rassemble 500 stations de lavage en France, cette technique utilise aussi de l’eau malgré son nom : il faut ensuite laver les pulvérisateurs et rincer les chiffons. »