
À la mairie d’Angers, le choix s’est ainsi porté pour l’essentiel sur le GPL, « le meilleur compromis entre les impératifs budgétaires et la protection de l’environnement », selon David Humeau, responsable du parc.
Dans d’autres cas, c’est plutôt le GNV qui sera privilégié. « 14 % des bus roulent au GNV, affirme à ce propos Charlotte Hubert, de GNVERT. Le GNV n’émet aucune particule fine », complète-t-elle. Pour GNVERT, d’autres secteurs s’intéressent à ce carburant, notamment les enseignes qui se soucient du « dernier kilomètre propre », à l’instar de Monoprix à Paris avec les véhicules qui roulent au GNV. Et pour GNVERT, la mise en place de zones d’actions prioritaires pour l’air (ZAPA) dans plusieurs collectivités françaises va aussi conduire les acteurs des transports à se pencher plus encore sur les carburants dits propres.