De toute évidence, la réflexion ne concerne pas le changement de financement : 12 % des sondés pratiquent la location longue durée, 31 % la LOA, 28 % le crédit bancaire et 29 % achètent au comptant. Des chiffres stables, avec une proportion d’achats au comptant qui évolue le plus rapidement sur les trois dernières années.
Dans les préoccupations des TPE vient ensuite la question de la transition énergétique. Mais les motorisations alternatives restent encore peu répandues : 10 % de ces entreprises déclarent avoir déjà installé dans leur parc au moins un modèle hybride, hybride rechargeable ou électrique. Et si ce changement écologique ne se...
De toute évidence, la réflexion ne concerne pas le changement de financement : 12 % des sondés pratiquent la location longue durée, 31 % la LOA, 28 % le crédit bancaire et 29 % achètent au comptant. Des chiffres stables, avec une proportion d’achats au comptant qui évolue le plus rapidement sur les trois dernières années.
Dans les préoccupations des TPE vient ensuite la question de la transition énergétique. Mais les motorisations alternatives restent encore peu répandues : 10 % de ces entreprises déclarent avoir déjà installé dans leur parc au moins un modèle hybride, hybride rechargeable ou électrique. Et si ce changement écologique ne se concrétise pas par une évolution des motorisations, il peut prendre la forme d’une réflexion sur la mobilité des salariés. 45 % des TPE disent avoir mis en place des mesures pour réduire les émissions de leur flotte et 29 % réfléchissent à mettre à disposition de leurs salariés des solutions de mobilité alternatives à la voiture : 24 % pratiqueraient déjà l’autopartage, 26 % le covoiturage et 11 % le crédit mobilité.
Parmi les préoccupations des TPE : la fiscalité. Ses évolutions pourraient en effet contribuer à rebattre la donne des motorisations au sein des parcs. Jusqu’ici, le passage du cycle NEDC au WLTP n’avait qu’un impact mineur sur la gestion des petites entreprises : seules 16 % estiment que ce changement a déjà eu des répercussions, mais 42 % les attendent dans les trois prochaines années. Un tiers des petites entreprises se déclarent ainsi prêtes à faire évoluer la part des énergies alternatives dans leur flotte. 4 % envisageraient de développer le recours au bioéthanol ou à une autre bioénergie dans les trois ans à venir, et 29 % dans un délai supérieur à trois ans.