Grâce à l’ergonomie des sites, la transparence sur les conditions de vente et une description détaillée des véhicules, la confiance des vendeurs et des acheteurs est désormais au rendez-vous. Et les marges de progression restent importantes : les enchères représentent 3 % du marché VO français, alors que segment mobilise 20 % des ventes au Royaume-Uni et 20 à 25 % aux États-Unis.
Entre 2013 et 2014, BCAuto Enchères a vu ses volumes de vente bondir de 30 %. Cette performance s’inscrit dans la logique des six dernières années au cours desquelles le spécialiste des ventes de VO b to b sur internet a connu des croissances à deux chiffres. « Sur...
Grâce à l’ergonomie des sites, la transparence sur les conditions de vente et une description détaillée des véhicules, la confiance des vendeurs et des acheteurs est désormais au rendez-vous. Et les marges de progression restent importantes : les enchères représentent 3 % du marché VO français, alors que segment mobilise 20 % des ventes au Royaume-Uni et 20 à 25 % aux États-Unis.
Entre 2013 et 2014, BCAuto Enchères a vu ses volumes de vente bondir de 30 %. Cette performance s’inscrit dans la logique des six dernières années au cours desquelles le spécialiste des ventes de VO b to b sur internet a connu des croissances à deux chiffres. « Sur l’ensemble du marché VO, internet occupe une place prépondérante. Cet outil répond à l’évolution des modes de consommation qui privilégient l’efficacité et luttent contre les pertes de temps », argumente Olivier Fernandes, directeur général du prestataire.
Parallèlement aux groupes de la distribution automobile, BCAuto Enchères s’approvisionne auprès des loueurs de longue durée. S’ils disposent de leurs propres canaux de revente, ces derniers rencontrent des difficultés lorsque les véhicules sont en panne ou accidentés. Point intéressant, BCAuto Enchères revend aussi des véhicules en provenance directe des entreprises. « Quand les entreprises hésitent entre l’achat et la LLD, la revente des véhicules oriente davantage leur choix que les coûts financiers des crédits, fait valoir Olivier Fernandes. Avec notre modèle de revente en soutien, l’achat devient une véritable alternative à la LLD. »