« En 2019, nous avons analysé le marché, se souvient Ousmane Mbodje, responsable du pôle mobilité en charge du fleet et du travel management. Nous avons constaté que la situation évoluait favorablement mais n’avait pas atteint la maturité actuelle. Aujourd’hui, la demande en électrique est forte et des tensions perturbent les différents opérateurs. »
Avec le rejet du diesel, Lidl a concentré ses référencements sur l’essence et l’hybride, avec une priorité donnée à cette dernière technologie. « En 2023, nous allons ouvrir davantage la flotte à l’électrique pour les conducteurs séduits par ce type de véhicule et qui ont la possibilité de...
« En 2019, nous avons analysé le marché, se souvient Ousmane Mbodje, responsable du pôle mobilité en charge du fleet et du travel management. Nous avons constaté que la situation évoluait favorablement mais n’avait pas atteint la maturité actuelle. Aujourd’hui, la demande en électrique est forte et des tensions perturbent les différents opérateurs. »
Avec le rejet du diesel, Lidl a concentré ses référencements sur l’essence et l’hybride, avec une priorité donnée à cette dernière technologie. « En 2023, nous allons ouvrir davantage la flotte à l’électrique pour les conducteurs séduits par ce type de véhicule et qui ont la possibilité de recharger », précise Ousmane Mbodje. En pleine phase de montée en puissance, Lidl a déjà testé des bornes dans les sites de ses plates-formes logistiques mais aussi dans ses sites administratifs.
Lidl : les infrastructures de recharge, des prérequis indispensables
Le passage à l’électrique répond à la volonté de Lidl de limiter son empreinte environnementale. « La RSE (responsabilité sociétale de l’entreprise) est partie intégrante de notre ADN, expose Ousmane Mbodje. La réglementation nous a aussi incités à agir à travers la loi d’orientation des mobilités (LOM), renforcée par la loi Climat et Résilience, avec un quota de véhicules propres à intégrer chaque année. Si leur contour est encore flou, les ZFE-m (zones à faibles émissions-mobilité) nous ont aussi poussés dans cette direction. »
Arrivé chez Lidl en 2014, Ousmane Mbodje disposait déjà de Zoé et de Kangoo Z.E. en parc. Encore au stade d’expérimentation, le sujet de l’électrique n’avait pas encore mûri. Cette année, les véhicules à faibles émissions vont être plus nombreux à rejoindre la flotte. « Cette évolution se fera à condition que les sites s’équipent d’infra-structures de recharge », souligne Ousmane Mbodje.