Pour Pierre Blondeau, directeur de la coordination achats généraux, la priorité est de diminuer les émissions de CO2 afin de ne pas dépasser le seuil de 135 g/km. En réalité, l’entreprise entend ainsi se conformer au renforcement du barème du bonus-malus. La zone dite « neutre » s’est rétrécie, de 106 à 135 g, contre 140 g auparavant. À terme, rappelle Limagrain, « la moyenne des émissions du parc devra tendre à 120 g/km. »
Limagrain a déjà sérieusement revu sa car policy par le passé. Jusqu’alors, les voitures des dirigeants étaient plafonnées à 140 g/km et les autres à 120 g. Une stratégie qui avait permis de diviser par deux...
Pour Pierre Blondeau, directeur de la coordination achats généraux, la priorité est de diminuer les émissions de CO2 afin de ne pas dépasser le seuil de 135 g/km. En réalité, l’entreprise entend ainsi se conformer au renforcement du barème du bonus-malus. La zone dite « neutre » s’est rétrécie, de 106 à 135 g, contre 140 g auparavant. À terme, rappelle Limagrain, « la moyenne des émissions du parc devra tendre à 120 g/km. »
Limagrain a déjà sérieusement revu sa car policy par le passé. Jusqu’alors, les voitures des dirigeants étaient plafonnées à 140 g/km et les autres à 120 g. Une stratégie qui avait permis de diviser par deux la TVS et d’économiser 250 000 euros sur un budget total de 6 millions d’euros.
L’image « verte » du groupe sera renforcée cette année par « un recours à des motorisations alternatives ou à des véhicules hybrides et électriques, mais sur des volumes marginaux dans un premier temps et pour des populations très ciblées », note Pierre Blondeau. Par ailleurs, des tests sur l’éco-conduite seront lancés, parallèlement à la politique de lutte contre l’accidentologie.