Éric Sarfati, business manager au sein de SGS France, met le doigt sur l’un des serpents de mer de la profession. Les frais de remise en état facturés par les loueurs de longue durée laissent souvent un goût amer aux responsables de flotte.
Pour aplanir les difficultés, SGS intervient en tant que tiers indépendant pour évaluer les frais de remise en état en fonction des termes du contrat signé entre les deux parties. Éraflures, enfoncement, jantes rayées, les experts de SGS établissent précisément ce qui ressort de la responsabilité du loueur et de son client. SGS évalue ainsi 50 000 véhicules chaque année. « Sur ce sujet, les...
Éric Sarfati, business manager au sein de SGS France, met le doigt sur l’un des serpents de mer de la profession. Les frais de remise en état facturés par les loueurs de longue durée laissent souvent un goût amer aux responsables de flotte.
Pour aplanir les difficultés, SGS intervient en tant que tiers indépendant pour évaluer les frais de remise en état en fonction des termes du contrat signé entre les deux parties. Éraflures, enfoncement, jantes rayées, les experts de SGS établissent précisément ce qui ressort de la responsabilité du loueur et de son client. SGS évalue ainsi 50 000 véhicules chaque année. « Sur ce sujet, les loueurs évoluent, constate Éric Sarfati. De plus en plus d’acteurs mettent en place des expertises contradictoires. » Malgré les incompréhensions réciproques, SGS ne constate pas d’augmentation significative des frais de remise en état. Selon Éric Sarfati, « l’essentiel des litiges provient de la méconnaissance des cahiers des charges des loueurs ».