
Selon le SNLVLD, si le contrat est clos à l’amiable, l’entreprise doit s’acquitter d’une indemnité de restitution selon une formule mathématique complexe.
Si la rupture du contrat est à l’initiative du locataire, il doit informer son prestataire par lettre recommandée au moins 60 jours avant la date de restitution souhaitée. Cette fois, l’indemnité prévue est majorée d’un montant correspondant à 25 % des loyers hors TVA qu’il reste à acquitter. Bref, la complexité administrative et le coût élevé dissuadent les entreprises d’anticiper la restitution.
Lorsque l’entreprise ne veut pas s’engager sur plus de 12 ou 24 mois, la location moyenne durée fournit un véhicule dans des délais raccourcis et évite les frais de restitution. En outre, des start-ups ou des sociétés en période de création ne remplissent pas toujours les conditions de solvabilité demandées par les loueurs de longue durée. Là encore, grâce à sa souplesse, la moyenne durée constitue une alternative en termes économiques et administratifs.
Comme les entreprises de droit privé, les collectivités territoriales ont adopté une logique de services pour établir des budgets prévisionnels et maîtriser leurs dépenses. Afin de répondre à cette demande, la moyenne durée assure la flexibilité et l’adaptabilité des moyens face aux besoins identifiés.
CAHIER PRATIQUE LOCATION MOYENNE DURÉE les 7 clés de la LMD
- CAHIER PRATIQUE LOCATION MOYENNE DURÉE les 7 clés de la LMD
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