
« Avant d’acheter un logiciel spécialisé, nous disposions d’un outil développé par le service informatique de la ville. Cet outil était très lourd et il sortait des listings interminables et incompréhensibles sur papier. Quand nous avions une demande précise, nous ne pouvions pas renvoyer de documents lisibles à la direction. De plus, la moindre évolution demandait un temps de développement disproportionné.
Nous avons donc décidé de nous équiper d’un logiciel spécialisé. Nous avons établi un cahier des charges et, avec l’aide d’une école informatique de Nantes, nous avons étudié le marché. Trois logiciels ont passé le cap de la première sélection. L’un d’entre eux répondait à notre cahier des charges –Atal–, et son éditeur, Aductis, semblait plus réactif que les autres. Nous étions son troisième client et ce logiciel a été développé avec notre participation. Plusieurs critères, dont la lisibilité des données et l’accessibilité de l’outil à des béotiens de l’informatique, ont guidé notre choix.
Un argument a été décisif : la capacité d’envoyer des éditions lisibles à notre direction générale. Depuis, Atal n’a cessé d’évoluer. C’est l’un des aspects les plus intéressants de cet outil : il est amélioré en permanence grâce aux demandes des clients. A titre d’exemple, sur la dernière version, il me manquait un état. J’ai téléphoné à l’éditeur qui m’a aidé à le mettre en place et qui va désormais l’intégrer aux nouvelles versions. Avec la version 5, nous accédons à une technologie Internet qui renforce la convivialité de l’outil.
Mais ce que j’apprécie le plus chez Aductis reste la qualité des relations nouées avec les équipes. Un technicien peut passer deux heures au téléphone avec moi pour résoudre un problème. Je ne suis pas sûr que le service après-vente soit de la même qualité chez tous les éditeurs. Désormais, avec Atal, nous avons une vision précise des historiques. Pour chaque intervention, nous obtenons la description des opérations réalisées, le coût, le nom de l’agent qui est intervenu… Auparavant, il était très difficile d’avoir accès à ces informations. Aujourd’hui, avec Atal, je peux planifier les interventions, anticiper et avoir une vue prospective sur la charge de l’atelier.
De plus, Atal m’a permis de mettre en évidence des surconsommations pour des modèles que nous avons pu exclure ensuite de nos appels d’offres. La surconsommation pouvait aller jusqu’à 20 % par rapport à un modèle équivalent d’un autre constructeur. Grâce à Atal, je me suis également aperçu que les véhicules GPL coûtaient trop cher en réparation et en entretien par rapport aux économies réalisées sur le poste «carburant ». Je les ai exclus de la flotte.
Aujourd’hui, je cherche à récupérer les données du logiciel pour les mettre sous forme de tableaux de bord sur l’Intranet de la Mairie pour que chaque service puisse suivre ses véhicules. Bref, il me serait désormais impossible de gérer à l’ancienne sans un logiciel spécialisé. »
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