David D’Amario, mairie du Plessis-Robinson : « Orienter le parc en fonction des besoins et des usages »
À la tête d’une flotte de 85 véhicules, la ville du Plessis-Robinson (92) mise sur le GNV, surtout pour le transport de charges importantes. Avec également des gains à la clé.
David D’Amario est responsable garage et transport à la mairie du Plessis-Robinson.
« Quand nous avons commencé avec les premiers GNV en 2007, une Punto puis des C3, nous ne savions pas trop où nous allions. Ensuite, nous avons réfléchi avec les chefs de service afin de bâtir une stratégie pour orienter le parc en fonction des besoins et des usages. Sur 85 véhicules, quatorze roulent au GNV, trois à l’électrique (des Kangoo Z.E.), sans compter une Zoé en commande, et douze sont hybrides dont un hybride rechargeable en cours de livraison.
Suite à cette étude, nous avons décidé de prendre des hybrides et des électriques pour les VP et de réserver...
David D’Amario est responsable garage et transport à la mairie du Plessis-Robinson.
« Quand nous avons commencé avec les premiers GNV en 2007, une Punto puis des C3, nous ne savions pas trop où nous allions. Ensuite, nous avons réfléchi avec les chefs de service afin de bâtir une stratégie pour orienter le parc en fonction des besoins et des usages. Sur 85 véhicules, quatorze roulent au GNV, trois à l’électrique (des Kangoo Z.E.), sans compter une Zoé en commande, et douze sont hybrides dont un hybride rechargeable en cours de livraison.
Suite à cette étude, nous avons décidé de prendre des hybrides et des électriques pour les VP et de réserver le GNV aux VU et pour les véhicules employés en exploitation qui ont besoin de charger d’importants volumes. Trois Caddy au GNV vont ainsi remplacer des véhicules diesel et essence.
En misant sur le GNV, la mairie s’est équipée d’une station car les points d’approvisionnement sont assez éloignés. Il faudrait aller jusqu’à Orly et perdre la moitié du réservoir. Le GNV nous a permis de réduire le TCO, même si le coût est plus élevé en entretien car il faut notamment une huile spéciale. Certes, il a fallu faire bouger les mentalités et expliquer comment fonctionnent ces véhicules GNV.
Parmi les impacts positifs sur les coûts, nous avons diminué de 60 % l’accidentologie en quatre ans. C’est entre autres lié à la peur de l’accident avec une bonbonne de gaz à bord, bien que la technologie soit fiable et maîtrisée. Moins de réparations et de chocs ont aussi contrebalancé le surcoût de l’entretien. En termes d’émissions, ces véhicules sont estampillés Crit’Air 1, ce qui les autorise à rouler dans les ZFE. »
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