Ces modèles constituent la spécialité des constructeurs japonais, y compris Kawasaki qui a timidement rejoint ce marché avec un modèle 300 cm3 il y a peu, le J300 (5 099 euros). Le roi du genre, c’est le Yamaha Tmax 530, très sportif dans ses performances comme dans son comportement. Un modèle spectaculaire, tout juste légèrement revu, qui privilégie les prestations dynamiques plutôt que les aspects pratiques, au prix de 10 999 euros. Face au Tmax, le BMW C600 S offre une vitesse de pointe encore plus élevée (175 km/h) et un tarif semblable à 11 200 euros. Plus raisonnable, le Yamaha Xmax 400 s’affiche à 6 499 euros, avec des prestations...
Ces modèles constituent la spécialité des constructeurs japonais, y compris Kawasaki qui a timidement rejoint ce marché avec un modèle 300 cm3 il y a peu, le J300 (5 099 euros). Le roi du genre, c’est le Yamaha Tmax 530, très sportif dans ses performances comme dans son comportement. Un modèle spectaculaire, tout juste légèrement revu, qui privilégie les prestations dynamiques plutôt que les aspects pratiques, au prix de 10 999 euros. Face au Tmax, le BMW C600 S offre une vitesse de pointe encore plus élevée (175 km/h) et un tarif semblable à 11 200 euros. Plus raisonnable, le Yamaha Xmax 400 s’affiche à 6 499 euros, avec des prestations pratiques adaptées à un usage quotidien. Et il est fabriqué en France.
Peugeot propose son GT Satelis en version 400 cm3, avec le même moteur maison que pour le trois-roues Metropolis. Un scooter confortable et pratique, mais malheureusement sans ABS (5 899 euros).
Toujours parmi les modèles qui privilégient le confort à bord, les Suzuki Burgman 400 (6 799 euros en version Executive avec poignées chauffantes) et Honda Forza 300 font bonne figure. Ce dernier, très doux et facile, est proposé en version Pack City avec pare-brise et top-case pour 5 299 euros, soit 300 euros de plus que la version ABS de base.
Enfin, à côté de tous ces modèles entièrement automatiques, Honda propose ses Integra et NM4 Vultus 750, avec la particularité d’offrir une transmission semi-automatique à double embrayage DCT, comparable aux DSG automobiles. De quoi rouler au choix en mode manuel ou automatique mais avec un ressenti plutôt plus proche de celui d’une moto que de la douceur d’un variateur de scooter.