
Et il en équipe depuis peu son SUV compact CX-30 et sa berline 5 portes du même métal, la Mazda3. Ce 4-cyl. essence fonctionne selon le principe de mélange pauvre (en carburant) et avec un fort taux de compression, à l’instar d’un moteur diesel (abandonné par ailleurs sur ces modèles). L’intérêt : allier sobriété et dépollution tout en développant de fortes puissances sans turbo.
Le premium est atteint
Pour le millésime 2021 et la mise aux normes Euro 6d Full, les motoristes japonais ont poussé la cavalerie à 186 ch et 240 Nm, contre 180 ch et 220 Nm précédemment. Le fonctionnement est encore plus linéaire, tout en prenant des tours sans barguigner et la puissance répond présente. Alors que la consommation baisse de 0,4 l/100 km et les émissions de 8 g, soit 127 g en boîte manuelle pour le CX-30. Mieux profilée, la Mazda3 aligne 118 g et décroche donc l’exonération de TVS sur trois ans.
Au fil des ans, ces deux modèles phares de Mazda se bonifient donc et font non seulement valoir leur technologie originale, mais aussi une qualité de fabrication et une qualité perçue toujours de haut niveau. Le premium est atteint.