« L’impact fiscal se situe à deux niveaux, sur la TVS mais aussi sur le bonus-malus, explique le directeur financier Christophe Massaro. La TVS est actuellement un élément assez stable, donc facile à intégrer, contrairement au bonus-malus, dispositif éphémère qui fait l’objet de modifications régulières. De ce fait, nous essayons d’anticiper au maximum un potentiel durcissement du malus. »
En conséquence, la grande majorité des berlines de la flotte se situent dans la zone neutre ou bénéficient d’un bonus écologique. Dans chacune des cinq catégories de la car policy est proposé un modèle hybride et une vingtaine de collaborateurs...
« L’impact fiscal se situe à deux niveaux, sur la TVS mais aussi sur le bonus-malus, explique le directeur financier Christophe Massaro. La TVS est actuellement un élément assez stable, donc facile à intégrer, contrairement au bonus-malus, dispositif éphémère qui fait l’objet de modifications régulières. De ce fait, nous essayons d’anticiper au maximum un potentiel durcissement du malus. »
En conséquence, la grande majorité des berlines de la flotte se situent dans la zone neutre ou bénéficient d’un bonus écologique. Dans chacune des cinq catégories de la car policy est proposé un modèle hybride et une vingtaine de collaborateurs ont fait le choix de cette motorisation alternative. La moyenne des émissions s’établit ainsi autour de 105 g, un taux qui devrait se situer sous les 100 g à l’horizon 2015-2016.
Si la fiscalité, et notamment le bonus-malus et la TVS, devait encore évoluer à l’avenir, le laboratoire envisage plusieurs possibilités pour compenser une éventuelle hausse des coûts de revient. Avec comme pistes de réflexion une baisse en termes de gamme ou de puissance des motorisations des modèles proposés.
« Ces changements récurrents dans la fiscalité et les déclarations quant à la volonté d’aligner le prix du diesel sur le prix de l’essence, entraînent un climat d’instabilité et de perpétuelles remises en question de notre car policy. Nous gestionnaires, ne savons plus sur quel pied danser et il nous est de plus en plus difficile de conserver une logique économique de long terme, tout en maintenant la satisfaction de nos collaborateurs. Certains d’entre nous, en attendant une certaine stabilité et cohérence, préfèrent rallonger les contrats de location par attentisme, bloqués dans des décisions d’achat ou de location à court et moyen terme », conclut le responsable.