
Après les Classe A et B ainsi que les carrosseries coupé CLA et CLA break, c’est au tour des SUV compacts basés sur la même plate-forme GLA (4,41 m de longueur) et GLB (4,65 m, 7 places) d’adopter la nouvelle identité stylistique de Mercedes. En effet, le constructeur suit ici une logique implacable : celle de l’uniformisation du style de ses compactes et familiales dont les faces avant se mettent au diapason, à l’occasion de leur restylage à mi-vie.
La face avant, principalement le bouclier, est redessinée. Ainsi, elle intègre dorénavant un sabot de protection dans sa partie basse, qui lui donne un style plus baroudeur. Le tout s’ajoute à de nouveaux feux affinés et à une grille de calandre plus imposante. Résultat : la prestance du GLA et de sa version allongée 7 places GLB se veut plus valorisante et statutaire, voire sportive et moins consensuelle comme c’était le cas jusqu’alors.
Les motorisations des Mercedes GLA et GLB mises à jour
En réalité, comme pour les Classe A et B, les modifications se font plus notables pour les motorisations avec la mise en série du « mild hybrid ». Ce dernier repose sur un alterno-démarreur de 10 kW/14 ch en 48 V MHEV pour le 1.3 turbo-essence de 163 ch commun au groupe Renault. En revanche, pas de modification pour le 2.0 turbodiesel de 150 ch et 190 ch qui demeurent tous deux à respectivement 140-154 g et 148-164 g, soit autour de 6,0 l/100 km.
Enfin, la version hybride rechargeable essence GLA 250 e s’équipe dorénavant d’une batterie plus capacitaire de 11,5 kWh utiles, pour un CO2 de 24-31 g et une autonomie de 62-70 km. Autre modification, l’option de charge en courant alternatif à 11 kW, contre 3,7 kW jusque-là et, en courant continu, un chargeur acceptant jusqu’à 22 kW. À noter : ce PHEV embarque le 1.3 l de 163 ch plus 109 ch électriques (soit 5 ch de plus que la version précédente), le tout développant 218 ch/450 Nm.