Pour preuve : le titre de Capitale verte 2013 acquis face à des villes concurrentes telles que Barcelone, Malmö en Suède, Nuremberg en Allemagne ou encore Reykjavik en Islande. Lancé par la Commission européenne en 2008, le prix Capitale verte de l’Europe distingue les métropoles de plus de 200 000 habitants engageant des initiatives environnementales d’envergure. Nantes a notamment été récompensée pour ses actions visant à diminuer la part de la voiture dans le transport local.
Sachant que les transports génèrent près de 30 % des émissions de CO2 de l’agglomération, Nantes a travaillé, durant dix ans de 2000 à 2010, sur ses...
Pour preuve : le titre de Capitale verte 2013 acquis face à des villes concurrentes telles que Barcelone, Malmö en Suède, Nuremberg en Allemagne ou encore Reykjavik en Islande. Lancé par la Commission européenne en 2008, le prix Capitale verte de l’Europe distingue les métropoles de plus de 200 000 habitants engageant des initiatives environnementales d’envergure. Nantes a notamment été récompensée pour ses actions visant à diminuer la part de la voiture dans le transport local.
Sachant que les transports génèrent près de 30 % des émissions de CO2 de l’agglomération, Nantes a travaillé, durant dix ans de 2000 à 2010, sur ses objectifs en matière de déplacements. Avec, à la clé, le lancement et l’amélioration des modes alternatifs de transport, tels que les tramways, les bus à haut niveau de service, mais aussi l’accent mis sur les modes de circulation doux – marche, vélo ou encore bateau.
Outre ces initiatives, Nantes a été primée pour ses actions de sensibilisation envers le grand public. À noter que la ville a aussi été labellisée Cit’ergie fin 2010. Ce label, décerné pour une durée de quatre ans, est destiné aux collectivités engagées dans une politique publique énergétique durable.